Architecture Image Narration

b) Conforter les représentations collectives c) Valoriser le patrimoine d) La légitimation institutionnelle e) Le marketing territorial 2. La création d’une image de marque a) Le prisme d’identité de marque de la ville b) Image perçue, voulue, crue de la ville c) les caractéristiques d’une image 3. La démarche stratégique d’une mise en image a) Le bilan et diagnostique b) Le plan de communication c) La stratégie des moyens 4. La diversité des outils 5. Problématique : la ville est-elle un produit

d’enfance ............................................................................................. 190 Personnages et enfance ...................................................................................... 193 Chapitre II : La ville natale : image documentaire........................................... 198 Le romancier historien .......................................................................................... 200 Evènements historiques ..............................................

connaissances sur la langue pour lire » (le fait de langue est étudié à travers un texte) ; - « rédiger un texte bref à partir de consignes données » (le fait de langue est réutilisé à travers une activité d’écriture s’appuyant le plus souvent sur une image). • Dans la perspective de donner sens à la grammaire, nous avons tenu à conserver une doublepage d’étude de la langue au sein des chapitres, si bien que le professeur peut aussi aborder, s’il le souhaite, la grammaire en lien avec les textes. Les

comme si quelque chose (réducteurs, savoir, etc.) intervenait ensuite pour la replacer à son rang d'image. L'objet en image serait donc constitué d'abord dans le monde des choses, pour être, après coup, chassé de ce monde. Mais cette thèse ne cadre pas avec les données de la description phénoménologique; en outre, nous avons pu voir dans un autre ouvrage que, si perception et image ne sont pas distinctes par nature, si leurs objets ne se donnent pas à la conscience comme sui generis, il ne nous restera

associé à des goûts exotiques « chinois » et « indien ». Ce renouveau gothique délibéré, sensible en Angleterre dès la seconde moitié du XVIIIe siècle, aussi bien dans les romans « noirs » anglais (de Horace Walpole, par exemple) que dans les architectures privées, est lié au culte anglais de l’irrégularité « pittoresque » (perceptible dans le jardin à l’anglaise) et à l’idée du « delight » (ce « sentiment de tranquillité ombragé d’horreur ». Cf. Horace Walpole (1717-1797), Strawberry Hill. Le

privilégié d’une dynamisation de leurs sols, d’un aménagement du territoire. C’est dans ces 29 conditions que l’on voit apparaître une tendance à la « mise en patrimoine ». Chaque région cherche à faire reconnaître comme patrimoine, son architecture, ses moulins, voire même ses savoirs-faire. De ce fait de nombreux spécialistes parlent actuellement d’une implosion de la notion de patrimoine. Selon R Amirou, celle-ci serait une conséquence directe des nouvelles acceptations de la notion

d'énonciation - Le sujet / les compléments quels sont les éléments sujets ? qui est le narrateur ? le personnage agit-il ou subit-il? - La ponctuation ton du texte, rythme - La présence éventuelle d'images et de figures de style effet propre à chaque image, l'originalité du texte Le fait d’identifier une figure de style entraîne obligatoirement une analyse : pas de remarques stylistiques sans analyse. - Les allitérations et assonances mise en valeur de certains mots, musique du texte - Répétitions, parallélismes

durassienne., et découvrir ainsi une cohérence interne, masquée, mais essentielle. nombre d’exégètes qui se sont intéressés à l'œuvre durassienne ont en effet souligné combien la lecture des textes ne laisse jamais indifférent tant la romancière engage sa narration dans une voie très éloignée de l’illusion réaliste et du récit linéaire. C’est donc d’abord un sentiment d’étrangeté qui se dégage à la lecture de tels récits; les univers, à peine esquissés, sont perçus, ressentis de manière étrange. Nous y trouvons

rosae à rosas. Le a s’est affaibli et est devenu e, et le s est resté en place au pluriel. Le latin vulgaire est un latin parlé et c’est une langue non littéraire, une langue de communication, qui connait des formes simplifiées, parfois familières, imagées, comme toutes les langues qui connaissent une transmission orale. Le latin vulgaire est né aux alentours du IIIe s av JC, au moment ou le latin est devenue une langue de culture. Une rupture s’est opérée entre une langue écrite qui va évoluer très

affirmations. 4 Ce surcroît de positivité conceptuelle est très différent des énoncés généralisants et des lois d'explication qui structurent le roman balzacien. Il est toujours, chez Hugo, un commentaire en débat. Alors que les formules gnomiques de la narration balzacienne étayent la démonstration romanesque (ils la prouvent ou l'expliquent) et contrôlent l'indétermination de la représentation (son imaginaire à l'œuvre), les moments commentaires de Hugo sont eux-mêmes soumis à une sorte de dramatisation