Après la répétition

présent immuable. Répétition du vers comme un refrain : rassurant, immuable. Certains adverbes renforcent cette éternité : « toujours » ; les deux négations « Ni temps passé ni les amours reviennent » jouent le même rôle. Rien ne revient, tout s’échappe. Enfin nous avons les « éternels regards ». Le pont est immuable, solide, inébranlable à l’opposé de cet amour perdu. 2 ) Le temps cyclique Le dernier vers et le premiers sont les mêmes : ils forment une boucle. Le refrain revient après chaque strophe

livre, la métapoétique est principalement caractérisée par la poétique de la reprise : on y trouve, en effet, beaucoup de répétitions. Par exemple, il y a pratiquement la même phrase, qui est utilisée au début de deux paragraphes qui se suivent « Une sorte de pierre, mais qui ne se laisse pas rouler. », « Une sorte de pierre, mais qui ne se laisse pas tripoter » (p.18). Ces répétitions renvoient à plusieurs éléments : Premièrement, elles rappellent l’usage répétitif du savon (on l’utilise plusieurs fois

documentation, des descriptions). L’auteur réaliste pour gout la représentation vraisemblable du détail et de l’effet de réel. Enjeu : critique de la société du XIXème siècle et l’idéalisme du romantique. Le naturalisme : Ecole qui apparaît après 1850, il est définit par une sorte de systématisation du réalisme. Un naturaliste est quelqu’un qui cherche à donner une image signifiante à la société en s’appuyant sur le réalisme. Il va essayer de classer les individus en les analysant psychologiquement

première strophe nous pouvons voir une assonance en AN ainsi qu'une allitération en S, vers 4-5 nous pouvons remarquer une enjambement ainsi qu'une répétition «qui s'étendent», il y a là une idée d'immensité. Nous pouvons voir une piège de nuages, avec un euphémisme au vers 3, les sens sont troublés, pas de liberté : «impression» ; il y a une répétition «chiens fidèles» , personnification et connotation d'emprisonnement ou de surveillance, il y a là une idée d'immuabilité et d'omniprésence ; «collée

la première personne du singulier, soulignant ainsi sa solitude. On peut interpréter cette partie du refrain («je demeure») de deux façons. D'une part, elle peut indiquer que le poète n'échappe au changement que pour rester seul, que pour souffrir après la fuite des amours. Vu ainsi, le refrain traduit une résignation douloureuse à la souffrance solitaire. Vue d'un autre angle, cette partie du vers souligne que le poète est conscient, dans sa solitude, du passage du temps et de la souffrance. Mais

partager mes connaissances dans ce domaine pour former et épanouir de jeunes danseurs. C’est vrai, qu’au début, c’était un peu dure pour créer les chorégraphies et trouver un rythme de travail adapté, décortiquer chacun des pas pour les apprendre l’un après l’autre. Mais je voulais vraiment faire quelque chose d’incroyable avec des danseurs, c’est la raison pour laquelle j’ai décidé de créer 2 chorégraphies pour les 2 spectacles que l’on organise au Studio Artendance. b. L’endroit où j’ai effectué

Rappel des théories linguistiques par rapport auxquelles s’inscrit la réflexion sur le langage dans la pièce. D’un point de vue général, il faut replacer la problématique dans son contexte : le développement des théories linguistiques après la guerre. La théorie qui va peu à peu être prédominante, en particulier dans les années ’70, est celle du structuralisme, hérité des théories du linguiste suisse Ferdinand de Saussure (1857-1913), théories consignées dans son Cours de linguistique

Commentaire compose Hamlet Les répétitions dans les dialogue sont utilisées pour que Martin , Dupont et Durant aient le dernier mot, on peut donc déduire qu'ils sont rivaux, vers 12 " Durant ( aux 2 autres hommes ) : Cette charmante personne est ma fiancée ." , vers 13 " Dupond ( à la jolie Dame): Chère amie dites à ces messieurs que vous êtes ma fiancée ." , vers 14 "Martin ( à dupont ) : Vous faites erreur, c'est ma fiancée ." Martin , Dupont et Durant répétent chacun leurs paroles sans même

pause à l’intérieur d’un vers après une syllabe accentuée. L’accent tonique se place toujours sur la dernière voyelle d’un mot, à moins que ce ne soit un e muet, auquel cas c'est la voyelle précédente qui reçoit l'accent. Mais seuls les mots importants sont vraiment accentués. Dans les alexandrins, la césure se place après la sixième syllabe. Ex : Veille auprès de Pyrrhus ; //fais-lui garder sa foi. (Racine) Dans les décasyllabes, elle se situe le plus souvent après la quatrième syllabe. Ex : Frères

Les procédés d’écriture : Tropes et Figures Figures de répétition CRITERE POSITIONNEL ANAPHORE (n.f) : répétition d'un mot ou d’une expression en début de proposition syntaxique. Comme une barque qui ne tient plus qu’à sa corde, et qui danse furieusement, et qui tape, et qui saque, et qui fonce, et qui encense, et qui culbute, le nez à son piquet, ...(Claudel, Cinq grandes odes) EPIPHORE (n.f): répétition d'un mot en fin de proposition syntaxique. L’enfant voyait la bouche qui était un