Après la répétition

sur les lieux : l.12-13. Enumération de lieux dit petit village ou hameau autrefois inconnus -> devenus célèbres par des massacres qui s'y sont déroulés. Litanie (toujours la même répétition) du nom énuméré. Certains chiffres reviennent de manière obsessionnelle. "6ème" l.13-14-18 -> impression de vérité. Après 20 ans. Il insiste sur "4 ans" d'horreur. Il insiste sur le nombre "100" l.14, l.18, l.19, il revient sans cesse avec d'autres termes qui renvoient au chiffre l.16 "Quant le boisseau

péjoratif aigre annonce le mot qui clos la scène le « mépris » . On retrouve peut-être cette véracité du personnage dans l'affirmation antithétique « tu es pur dans le bien, comme je suis pur dans le mal » 3° extrait: Acte III scène 3 situation : après la phrase prémonitoire de Scipion « Je crois ... qu'un jour ... des légions de dieux humains se lèveront ...et noient dans le sang la divinité d'un moment » , la scène 3 de l'acte III que nous allons étudier apparaît comme le comble de la non­communication

présente : " Notre vue a baissé ". On remarque de plus un mélange des registres quand Nell dit à Nagg que " Rien n'est plus drôle que le malheur ". Cependant, c'est la dernière apparition de Nell puisque lorsque Clov refermera le couvercle sur elle après qu'elle lui ai dit " d'aller dans le désert ",ainsi elle décédera mais nous le savons plus tard dans la pièce. c) Troisième épisode (p67-75): Hamm promet à Nagg une dragée si celui-ci écoute son histoire. Nagg est obsédé par la nourriture notamment

Nephila clavipes Répétition de MaSp 1 65 663 mg/L de protéine de soie produite, soit 16% du total 2001 Plantes Tabac et Pomme de terre Nephila clavipes Répétition de MaSp 1 13-100 La protéine d’araignée représente 0.5% du total 2002 Animal Cellules mammaires Nephila clavipes Répétition de MaSp 1 60-140 25-50 mg/L de protéine de soie 2007 Insecte Bombyx Mori Nephila clavipes Répétition de MaSp 1 70 Protéine d’araignée : 40% du total 2007 Animal Souris transgéniques Nephila clavipes Répétition de MaSp 1 31-66

l'indifférence de la nature. La fuite du temps est exprimée sur le plan lexical et syntaxique par un réseau très complexe de répétitions. La pluspart des verbes appartiennent au même champs lexical qui est celui du mouvement: "s'est couché", "viendra", "s'enfuit", "passeront", "roule", "s'iront rajeunissant"", "je passe", " je m'en irai". Cette fuite du temps est ponctuée par la répétition des moments de la journée: "ce soir", "le soir", "la nuit", "l'aube", ... et par celle des jours même: "Puis les nuits

Gestes: danse du scalp, gifle de la bonne. On mentionnera l'importance des didascalies. - Mots: propres au théâtre de l'absurde, des mots qui ne veulent rien dire; injures(”salope!”), interjections (qui donnent du rythme à la scène), etc… - Répétition: celle du mot “couteau” qui est centrale. 2. Un comique destructeur. - Le comique détruit le tragique d'une scène de meurtre: ce meurtre est un “non-événement”. - Les didascalies nous indiquent que c'est un couteau “invisible”, que le meurtre

rentrer dans le texte et comprendre le lien entre le décor qui entoure le personnage et sa future remise en question. Dès les lignes suivantes nous apprendrons que Adolphe est seul abandonné face à lui-même et à la nature qui l’entoure. Tout de suite après avoir appris la solitude de Adolphe face à la nature, nous entrons en contact avec les pensées du personnage qui deviennent plus sombres. L’emploi à 4 reprises du mot « plus » aux lignes 7 et 9 marques l’utilisation d’une hyperbole que l’auteur a utilisé

sont inspirés des contrats. Le code civil envisage deux quasi-contrats : La gestion d’affaires (quasi contrat de mandat) La répétition de l’indu (quasi contrat de prêt) Le code civil s’oppose du droit romain. La JP a inventé un autre quasi contrat presque parfait : l’enrichissement sans cause. C’est celui qui exprime le mieux la réalité de la gestion d’affaires et répétition de l’indu. La JP a visé l’article 1371 : celui qui reçoit l’enrichissement doit indemniser, c’est le même mouvement commutatif

“Après le procès des Fleurs du Mal en 1857 et l’élaboration d’une nouvelle section « Tableaux parisiens », Charles Baudelaire adopte une nouvelle forme poètique, le poème en prose. « Le port » est le 42ème de ces poèmes publiés à titre posthume en 1869 dans le recueil « le Spleen de Paris ». Constitué d’un seul paragraphe, il décrit un paysage maritime à la manière d’un tableau de son ami peintre Eugène Boudin. Fasciné par le spectacle, le poète évoque à la fois sa quête de l’idéal et le spleen

d'un homme seulement, rien de plus. Mais pendant la guerre, ce nom aurait eu de signification pour un français, surtout un résistant. Gabriel Péri était journaliste et très actif dans la partie communiste. Il était arrêté et fusillé par les Nazis après le commencement de l'occupation en 1941. Donc les résistants avec qui Éluard voulait communiquer auraient reconnu ce nom, et ils auraient associé le poème avec les idéals que Péri représentait. Il y aussi un jeu sur son nom ; Gabriel Péri a péri ;