Apologue Genre Mineur

l’Ancien Testament (proverbes) la fourmi est prévoyante et donc un modèle à suivre ; apologue et parable ont des traits communs (sont considérées comme des exemples) avec un but diachronique. Avant La Fontaine la lesson que se dégage de cette fable est la même morale univoque et évident.Aux XVIIème siècle, la fable était utilisée pour l’apprentissage des langues (mais c’était un genre mineur). À l’époque de La Fontaine les professeurs traduisaient les fables en prose et

réflexion sur différents sujets par le biais de récits fictifs. Dès l’enfance, elle fait partie intégrante de l’éducation lorsque celle-ci a recourt à la fiction et aux personnages inventés pour faire passer un message éducatif. Considérée comme un genre argumentatif moins sérieux que les autres formes d’argumentation par les adultes, ces derniers, portant plus d’attention aux faits réels, oublient le goût du récit fictif mais le retrouvent cependant au théâtre, au cinéma ou dans le roman. Une œuvre

liberticide, et sur tous les tons, lyrique, burlesque, épique, il stigmatise le crime inexpiable de Napoléon le Petit. "Le poète a un pied dans la boue, un oeil sur les étoiles et un poignard dans la main". Pour convaincre, on utilise de préférence le genre de l'essai, du traité ou du discours. Au XVIIème siècle dans Descartes et Pascal, on retrouve une démarche inspirée par les raisonnements mathématiques (réseau de causes, de conséquences, de concessions, d'oppositions... pour l'argument du pari). Au

que..... Deuxièmement......" Rappel pour la conclusion: elle doit comporte un "genre "de résumé des parties étudiées et une ouverture vers d'autres oeuvres se rapportant (évidemment) au sujet. Les deux coqs de La Fontaine 1. Un apologue héroï-comique : * « Je chante des héros dont Ésope est le père » écrivait La Fontaine dans le premier recueil de ses Fables, parodiant le début de l’Énéide de Virgile. Le genre héroï-comique donne à des personnages de basse condition (bourgeois, petit peuple)

liberticide, et sur tous les tons, lyrique, burlesque, épique, il stigmatise le crime inexpiable de Napoléon le Petit. "Le poète a un pied dans la boue, un œil sur les étoiles et un poignard dans la main". Pour convaincre, on utilise de préférence le genre de l'essai, du traité ou du discours. Au XVIIème siècle dans Descartes et Pascal, on retrouve une démarche inspirée par les raisonnements mathématiques (réseau de causes, de conséquences, de concessions, d'oppositions... pour l'argument du pari). Au

gosier. Aussitôt un aigle fondant sur lui l’enleva ; et le coq caché dans l’ombre couvrit les poules sans crainte. Les deux coqs de La Fontaine 1. Un apologue héroï-comique : '' « Je chante des héros dont Ésope est le père » écrivait La Fontaine dans le premier recueil de ses Fables, parodiant le début de l’Énéide de Virgile. Le genre héroï-comique donne à des personnages de basse condition (bourgeois, petit peuple) des idées et un style noble : le comique découle du contraste entre le style

LE COMMENTAIRE LITTÉRAIRE : MÉTHODELE COMMENTAIRE - MÉTHODE Le commentaire, en voie technologique, peut porter sur les objets d’étude : Le roman et le récit du Moyen-Âge au XXIe siècle, La poésie du XIXe au XXIe siècle, Le théâtre du XVIIe au XXIe siècle. Le sujet sera formulé sur le modèle de celui-ci (sujet EAF 2019) : Vous ferez le commentaire du texte extrait d’Aurélien d’Aragon, en vous aidant du parcours de lecture suivant : 1- Les plaisirs de la promenade. 2- Les multiples facettes

expérience vécue » renvoie à des récits de vie ou de tranches de vie, donc à des passages narratifs ; cela peut donc faire référence à l’autobiographie (s’il s’agit de la vie vécue par l’auteur), mais aussi aux apologues (voir sujet 33, document A, la fable de La Fontaine) et à tout genre qui comporte une histoire (roman, voir sujet 33, document D, l’extrait de Germinal). Il peut donc s’agir de « l’expérience vécue » par l’auteur, par des personnes ayant réellement existé ou par des personnages fictifs

antonymes, plus généralement des mots de ces champs sémantiques. Les liens qu’ils entretiennent pourront nous permettre de reformuler la problématique. Ainsi « textes littéraires » peut évoquer pamphlet, apologie, satire, apologue, libelle, diatribe, critique, thèse, réquisitoire, défense, genre littéraire… « Formes d’argumentation » appelle controverse, raisonnement, démonstration, explication, discussions, déduction, méthode, causalité, synthèse, syllogisme, spéculation, analogie, comparaison… « Complexes »

antonymes, plus généralement des mots de ces champs sémantiques. Les liens qu’ils entretiennent pourront nous permettre de reformuler la problématique. Ainsi « textes littéraires » peut évoquer pamphlet, apologie, satire, apologue, libelle, diatribe, critique, thèse, réquisitoire, défense, genre littéraire… « Formes d’argumentation » appelle controverse, raisonnement, démonstration, explication, discussions, déduction, méthode, causalité, synthèse, syllogisme, spéculation, analogie, comparaison… « Complexes »