Apologue Gaieté

par Ruy Blas, on constate toutefois que les deux drames romantiques de Hugo et Rostand se ressemblent en ce que la révélation porte un caractère tragique. Au contraire, la comédie de Marivaux permet à Arlequin de redevenir valet dans la joie et la gaieté. En vous appuyant sur le texte B et les annexes 1 et 2, analysez le rôle des costumes dans Ruy Blas. Les costumes ont dans Ruy Blas un rôle dramaturgique, mais aussi une fonction symbolique. Dans Ruy Blas, les personnages se déguisent, mentent sur

piquant et si original ? In Discours, Éloge de La Fontaine, 1774, Chamfort 1. éloge : discours prononcé ou écrit vantant les mérites, les qualités de quelqu’un ou de quelque chose 2. apothéose : fait d’élever quelqu’un au rang des dieux 3. apologue : court récit imaginaire ou parfois réel dont se dégage une vérité morale, synonyme de « fable » 4. autel : table sur laquelle on déposait les offrandes à la divinité, on offrait les sacrifices aux dieux 5. Racine : écrivain français du XVIIe siècle

Une œuvre intégrale brève  Émile Zola, Une victime de la réclame (1872) Durant la séquence sur le roman, les élèves ont étudié les visions du monde de Mouret (le commerçant) et de Denise (l’employée). Grâce à cette nouvelle qui fonctionne comme un apologue, ils examinent l’effet produit par la réclame sur le consommateur naïf. Trois extraits complémentaires  Balzac, Grandeur et décadence de César Birotteau (1837) Ce texte se place du point de vue du commerçant, et pose le problème de la vérité et

œuvre intégrale brève  Émile Zola, Une victime de la réclame (1872) Durant la séquence sur le roman, les élèves ont étudié les visions du monde de Mouret (le commerçant) et de Denise (l’employée). Grâce à cette nouvelle qui fonctionne comme un apologue, ils examinent l’effet produit par la réclame sur le consommateur naïf. Trois extraits complémentaires  Balzac, Grandeur et décadence de César Birotteau (1837) Ce texte se place du point de vue du commerçant, et pose le problème de la vérité

peur – anxiété – frayeur – effroi – panique – épouvante – terreur. 4. étonnement – ébahissement – stupéfaction – stupeur. Les émotions généralement associées aux genres et aux registres suivants : – La comédie et le comique : le rire ; la joie ; la gaieté  ; l’amusement  ; la bonne humeur  ; mais aussi : la surprise ; l’attendrissement ; la moquerie. – La tragédie et le tragique  : la crainte  ; l’angoisse ; l’impuissance (face au destin) ; l’attente inquiète ; la consternation ; mais aussi : la pitié ;

animaux et la déesse Cérès, mais s’arrête en cours de route, suspendant son récit à l’adverbe bientôt (v. 6) => les auditeurs, captivés, veulent en savoir plus : Et Cérès, que fit-elle ? (v. 7) 3. prit un autre tour (v. 1), contes d’enfants (v. 10), Apologue (v. 15), trait de Fable (v. 17) : argumentation indirecte plus efficace grâce à une astuce (autre tour), mais récit attirant l’attention des auditeurs comparés à des enfants aimant les fictions (connotation péjorative) et peu soucieux des dangers

proféré ces paroles, il se mit à table sans regarder Sétoc. «Que faites-vous donc ? lui dit Sétoc étonné. - Je fais comme vous, répondit Zadig ; j'adore ces chandelles, et je néglige leur maître et le mien. » Sétoc comprit le sens profond de cet apologue. La sagesse de son esclave entra dans son âme ; il ne prodigua plus son encens aux créatures, et adora l'Etre éternel qui les a faites. Il y avait alors dans l'Arabie une coutume affreuse, venue originairement de Scythie, et qui, s'étant établie

Ayant proféré ces paroles, il se mit à table sans regarder Sétoc. «Que faites-vous donc? lui dit Sétoc étonné. - Je fais comme vous, répondit Zadig ; j'adore ces chandelles, et je néglige leur maître et le mien. » Sétoc comprit le sens profond de cet apologue. La sagesse de son esclave entra dans son âme ; il ne prodigua plus son encens aux créatures, et adora l'Etre éternel qui les a faites. Il y avait alors dans l'Arabie une coutume affreuse, venue originairement de Scythie, et qui, s'étant établie

Ayant proféré ces paroles, il se mit à table sans regarder Sétoc. Que faites-vous donc? lui dit Sétoc étonné. Je fais comme vous, répondit Zadig; j'adore ces chandelles, et je néglige leur maître et le mien. Sétoc comprit le sens profond de cet apologue. La sagesse de son esclave entra dans son âme; il ne prodigua plus son encens aux créatures, et adora l'Etre éternel qui les a faites. Il y avait alors dans l'Arabie une coutume affreuse, venue originairement de Scythie, et qui, s'étant établie

Ayant proféré ces paroles, il se mit à table sans regarder Sétoc. Que faites−vous donc? lui dit Sétoc étonné. Je fais comme vous, répondit Zadig; j'adore ces chandelles, et je néglige leur maître et le mien. Sétoc comprit le sens profond de cet apologue. La sagesse de son esclave entra dans son âme; il ne prodigua plus son encens aux créatures, et adora l'Etre éternel qui les a faites. Il y avait alors dans l'Arabie une coutume affreuse, venue originairement de Scythie, et qui, s'étant établie