Apologue Dénonce Les Violences

En quoi ce récit est-il un apologue ? Utilise toutes les ressources, narrative et argumentative, pour délivrer une morale. Il serait ainsi intéressant d’étudier, dans un premier temps, l’art du récit, pour dans un deuxième temps, nous pencher sur la charge critique.    I) l’art du récit - Un récit traditionnel -description du cadre de vie d’une communauté d’aveugles. Ce cadre semble idyllique puisque non seulement les aveugles ne sont pas handicapés dans leur vie quotidienne « Ils distinguaient

de produire un texte qui demande des qualités créatrices, mais qui obéit à certaines contraintes à respecter. 1. Lire le sujet. Au brouillon, vous devez rechercher dans l'intitulé les éléments du texte à produire: -genre : lettre, dialogue, apologue, fable, conte... -situation d'énonciation: qui parle à qui?, où? , quand?  -registre: comique, tragique, lyrique... -thème -problématique Il faut reconnaitre et respecter les caractéristiques formelles des textes (dans une lettre: formule d'introduction

illustre une morale et met en scène des animaux pour mieux évoquer les hommes. Elle met en évidence une réalité cruelle à portée universelle : le dialogue entre le loup et l’agneau met en évidence le comportement de celui qui non seulement exerce sa violence sur le plus faible mais cherche à la justifier. I. Deux personnages opposés a) Le loup Cruel, tyrannique, supérieur. Champ lexical de la haine : "plein de rage", "colère"… Le Loup se comporte en prédateur, soumis à ses instincts, à sa "faim"

moraux. Si cet apologue se distingue d’une fable du XVIIe siècle, c’est parce que le développement du dialogue entre les deux gallinacés permet une satire dûment argumentée de la religion et de la manière dont elle est pratiquée « dans le petit pays où nous sommes », périphrase transparente pour désigner la France du XVIIIe. Le raisonnement suivi par la poularde s’applique clairement au domaine religieux. La désacralisation des rites religieux à travers les périphrases dénonce l’abus de pouvoir

racontée cette petite fable. Elle met en place une série d’oppositions qui nous permet de réfléchir. N’est-ce pas le propre de l’apologue ? C’est ce que nous allons débattre dans la partie suivante. Nous démontrerons que la fable est un apologue par la présence d’une argumentation, par son caractère universel et par sa morale. Nous remarquons, dans cette fable, la présence d’une argumentation du Rossignol face au mépris du Milan. Alors que le Milan rabaisse le Rossignol avec un tutoiement

sujet de la phrase et le thème majeur n’est évoqué qu’au vers 4 + mot «Mal» répété et mis en opposition vers 1 et 2. Sujet dramatique avec différents champs lexicaux de la mort, de l’horreur… + allitérations en « r » au début → idée de fracas, de violence. * Côté effroyable renforcé par un ensemble de tournures négatives (vers 7-8-10-11-14…) → Désespérance, désolation, vide, disparition = conséquences de la Peste. * Situation dominée par la fatalité (qui rappelle l’Antiquité). Evocation du

(Situer le texte) La nouvelle de Didier Daeninckx, intitulée « Le Reflet » et publiée en 1994 dans le recueil Main courante, apporte un regard original et humoristique sur cette question. (Présenter le texte) Il s'agit, en effet, pour son auteur de dénoncer ce fléau dans un court récit, proche de l'apologue, mettant en scène un vieillard aveugle et foncièrement raciste. Problématique : Il s'agira de démontrer comment cette nouvelle, qui repose sur le portrait en action d'un individu odieux, permet

Il dénonce, par la fiction, de nombreuses formes d’injustice (rascisme, esclavage, abut de pouvoir, etc). Il dévelloppe une argumentation indirecte. Le lecteur doit savoir lire entre les lignes pour traduire les antiphrases, les euphémismes et les oxymores. Il doit adhérer aux idées de Voltaire pour comprendre ce qui est implicite dans le texte. L’ironie de Voltaire se fait d’ailleurs remarquer dans les discours et raisonnements de Pangloss. Plusieurs chapitres de Candide sont des apologues à eux

| | |Sujet d’oral : Corneille, Horace, IV,5 | | |En quoi réside la violence de la scène ? | |Naturel et convention au théâtre (corpus 10, p. 330) |Question : Quel(s) extrait(s) (document 1,2 ou 5) suscitent ou susciteraient la | |- Racine, Iphigénie, I, 1

donc avec tempérance et mesure. La réaction d’Iphicrate, qui croit encore au dérisoire pouvoir de la violence physique (comme le souligne la didascalie « l’épée à la main », l. 97) et se complaît dans une parole tragique désormais ridicule, au vu de sa situation de nouvel esclave (l’interjection « Juste Ciel ! », l. 97-98 ou la question rhétorique : « Peut-on être plus malheureux et plus outragé que je le suis ? », l. 98, relèvent d’un registre élevé), montre qu’il a fort besoin d’une telle leçon