Apologue Comique

L'origine du comique : Vous pouviez vous appuyer sur l'ouvrage de BERGSON évoqué en cours : LE RIRE. On attendait de vous que vous montriez votre connaissance des différents types de comique : de geste, de mots, de situation, de mœurs et de caractère. Des exemples de plusieurs natures pouvaient être puisés dans les trois textes. Comique de caractère : le naïf Monsieur JOURDAINdu Bourgeois gentilhomme, la folie du professeur de La Leçon, le prétentieux ignorant : FOLLAVOINE comique de geste :

un réel possible en exploitant souvent le thème de la folie. Le registre dramatique l’emporte souvent avec la présence de la menace ou de la disparition et registre tragique dans certains cas. Le registre comique n’est pas absent même s’il est souvent grinçant. Il concerne aussi bien le comique de mots de gestes que de caractères avec les caricatures paysannes. Maupassant utilise le plus souvent une narration linéaire avec éventuellement quelques retours en arrière explicatifs. Si les romans sont

Boileau et ses satires, par exemple. B°) Le rire a permis la renomée des plus grands Molière, LaFontaine ou Marivaux (« L'île aux esclaves », « Le jeu de l'amour et du hasard »), par exemple. C°) Le comique, une manière de passer ses arguments, moins brusque/offensif Procédés comique de Marivaux dans « L'île aux esclaves » II°) Mais il a ses limites... A°) Le raisonnement par l'absurde, parfois peu convaincant. Voltaire (Lettre à J-J Rousseau), par exemple B°) Un risque d'offusquer

Dossier sur «  L’Illusion Comique » De Corneille  Années 2010/2011 Présentation de l’œuvre : .L’illusion comique est une pièce de théâtre , qui comporte 5 actes du 17ème siècle , écrite en 1635 par Pierre Corneille. Parut 1639 et sera éditée par François Targa. .Pièces représentée pour la première fois au théâtre du Marais en 1636. Pièce au genre baroque et classique. .L’histoire racontée est celle d’un père ,ayant perdu de vu son fils depuis plus de 10 ans

| | |l’être aimé. | | |La tradition respectée du genre |- Le registre comique est présent dans la plupart des |- La scène de la rencontre Adine / Églé peut | |comique |scènes, même si le propos déroute ou prête à réfléchir (au|être travaillée sur le plan des registres : | | |delà du prétexte d’une controverse

caricatural qu’il fait du bourgeois mais à celui du poète. Le portrait du bourgeois est dépeint dans un sonnet où l’ironie et la caricature le tourne en dérision. Notre étude se consacrera au bourgeois type, puis nous verrons le caractère ironique et comique qu’emploie Verlaine et enfin la place du poète et de la poésie à travers le regard d’un bourgeois à l’esprit limité. Dès le deuxième vers, Verlaine se moque de l’habillement du bourgeois en utilisant l’hyperbole « engloutit son oreille », de plus

qu’Iphicrate lui fait subir au quotidien. Ironiquement les rôles d’Iphicrate et Arlequin permutent dans cette scène. Iphicrate demande de l’aide à Arlequin tandis que se dernier se moque complètement de celui-ci : il siffle, rie et l’ignore. Le registre comique aide Marivaux à faire passer ses idées. Dans sa dernière tirade, Arlequin devient plus sérieux «  Dans le pays d’Athènes j’étais ton esclave » afin de justifier ses pensées mais l’intensité dans cette scène reste peu forte. Jean Anouilh ne

soucis du détail dans la mise en scène, jeux de lumières, de sons. La toile de fond de l’action est souvent la satire de la bourgeoisie, de son langage figé et de son petit esprit. La scène se déroule souvent dans un climat de catastrophe mais le comique s’y mêle pour dépasser l’absurde. Le langage mis en scène n’est plus un moyen de communication mais exprime le vide, l’incohérence et représente la vie, laquelle est elle-même ridicule. Volonté de dresser un tableau de la condition humaine prise

Le comique est à la fois sur la scène et dans le langage L’atmosphère du Malade imaginaire est sombre, aussi, du fait que bon nombre de figures inquiétantes, de Béline à M. Bonnefoy en passant par les médecins, gravitent autour d'un personnage central lui-même bien peu attachant. Ce bourgeois, passablement riche, et assez près de ses sous, qui a des manières peu raffinées sinon vulgaires, est malade, mais non pas dans son corps, comme il le pense; c'est son psychisme — son imagination — qui l'enfonce

l'artefact théâtral, par exemple dans Le Mariage de Figaro de Beaumarchais. Dénouement Un dénouement tragique, mais qui reste comique (acte V, scènes 4,5 et 6). On sait que Dom Juan est emporté dans les Flammes des Enfers par la Statue du Commandeur. Dom Juan meurt, on pourrait se croire dans le dénouement d’une tragédie. Mais très rapidement, le registre comique revient au galop avec la réplique finale de Sganarelle : « Mes gages, mes gages ! »; un Sganarelle peiné, non de la mort de son