Analyse Stylistique Baudelaire

plus il y a réflexion passive ou active de la réalité par une œuvre, plus celle-ci est réaliste, plus elle a de la valeur. À l'esthétique objective du contenu (thématique) conduisant au réalisme, correspond l'esthétique objective de l'expression (stylistique) conduisant au formalisme. La forme (l'expression) et le fond (le contenu) sont les catégories duelles fondamentales de l'esthétique (objective). Le réalisme socialiste, c'est-à-dire la soi-disant esthétique marxiste est une esthétique objective

propriété intellectuelle n’autorisant, aux termes des articles L. 122-4 et 122-5, d’une part, que les « copies ou reproductions strictement réservées à l’usage privé du copiste et non destinées à une utilisation collective », et d’autre part, que « les analyses et les courtes citations » dans un but d’exemple et d’illustration, « toute représentation ou reproduction intégrale ou partielle, faite sans le consentement de l’auteur ou de ses ayants droit ou ayants cause, est illicite ». Cette représentation

ses personnages et multiplier les points de vue. Conclusion Le but est de montrer le mouvement, l’évolution, mais on ne peut pas séparer clairement ces catégories qui se recoupent souvent. En effet, les catégories ne sont pas imperméables : Baudelaire et Flaubert avait déjà utilisé le terme naturalisme à propos de Balzac. Zola n’est pas non plus un naturaliste spontané: ses débuts littéraires ont été influencés par un grand romantique, Alfred de Musset. Maupassant est parfois vu comme naturaliste

nous en avons d'autres | |qui s'accommodent très bien avec le faux. |   Exercice 1 : l'étude des pronoms :   Il est rare qu'à l'examen une question invite à analyser la valeur de tous les pronoms. Mais prenez l'habitude de vous y intéresser, tant il est vrai que les questions "qui parle ? à qui ?" sont essentielles devant un texte argumentatif.    Aucune des questions de compréhension ne doit être traitée comme

pouvait exister, ne serait ni plus ni moins qu’un monstre. Et même un monstre jouit nécessairement du beau. C’est autant dire que l’homme est fondamentalement un être esthétique. Nous pouvons le montrer aussi bien dans la trame de son existence (analyse ontologique) que dans le parcours de son histoire. L’existence humaine est fondamentalement déterminée par l’expérience esthétique au point qu’on peut considérer cette expérience comme un existential quand bien même Heidegger ne place pas la dimension

l'homme, encore moins son langage, et un « instrument » hérité de Voltaire, de Rousseau ou de Vauvenargues, ne pouvait leur paraître compromis. C'est la singularité des situations historiques qui a formé l'identité de l'écriture révolutionnaire. Baudelaire a parlé [19] quelque part de « la vérité emphatique du geste dans les grandes circonstances de la vie». La Révolution fut par excellence l'une de ces grandes circonstances où la vérité, par le sang qu'elle coûte, devient si lourde qu'elle requiert

en un sens plus restreint (au sens adornien), se fait jour au milieu du XIXe siècle(...) La ville, la littérature, la modernité vont ainsi de pair, si l’on peut dire, comme le triangle d’un adultère…Au cours des mêmes années des gens comme Baudelaire et Gautier forgent le mot même de ‘modernité’ » (Popovic,1988:109–121) Nous trouvons le thème de la ville uni à celui de la La Ville, lieu de découverte et d’hostilité: ... 77 modernité dans l’œuvre d’un grand nombre d’écrivains français du XIXe

avec la lecture, à un horizon d’attente propre à un lecteur et à un texte. Le lecteur, en fonction des données du texte, attend donc une certaine évolution de l’intrigue, des personnages, un ensemble de caractéristiques formelles (narratives, stylistiques), un certain rapport avec le lecteur ou avec l’intertextualité. Cet horizon d’attente interne au texte est donc construit par le texte lui-même et lié aussi à la subjectivité d’un lecteur. Il se programme notamment à l’incipit puis évolue, se voyant

portée de la glose au profit de la mise à disposition des écrivains et des lecteurs de la source elle-même. Et les premières sources étudiées seront les originaux grecs des textes bibliques (Erasme) En soumettant les textes anciens et la Bible à une analyse philologique rigoureuse, ils ouvrent la voie à la démarche scientifique et se dégagent de la conception scolastique de l’enseignement dispensé par l’Église. En même temps, ils redécouvrent les auteurs latins et grecs et toute la culture antique, ce

que la langue ne peut et ne pourrait copier le réel. C’est une évidence, mais le plus important est d’interroger, de questionner par quels procédés réalise-il l’effet de réel ? Et dans quel objectif ? Et à l’aide de quels moyens linguistiques et stylistiques s’engage t-il à créer l’illusion référentielle ? Et Pourquoi s’emploi-t-il à la détruire ? L’objectif principal visé dans ce travail de recherche et de rédaction est celui d’élucider le paradoxe dominant dans notre problématique, la création de