Analyse Stylistique Baudelaire

qu’apportent chacune de ces deux lectures, non pas seulement à l’auteur mais aussi au lecteur, car il semble évident que les deux sont liés. Il est donc nécessaire de se placer du point de vue de l’une et de l’autre pour ne rien omettre au cours de notre analyse. Tout d’abord, il serait intéressant de se demander pourquoi préférer une lecture naïve des œuvres, en effet, si certaines ne demandent pas une lecture critique, pour d’autres l’auteur préfère voir primer le rôle du lecteur sur une lecture dite de

Français séance 1, 02/09/22 :4 objets d’étude : I. La poésie du XIX au XXIème siècle Les Fleurs du mal, Baudelaire Parcours associé : L’alchimie poétique : La boue et l’or Lecture cursive : La première gorgée de bière et autres plaisirs minuscules de Philippe Delerm (Ed : l’arpenteur) II. Le roman et le récit du moyen-âge au XXIème siècle Sido/ Vrilles de la vigne de Colette Parcours associé : La Célébration du monde Lecture cursive : Trois saisons d’orage

l’auteur au sens biographique ou sociologique et de l’auteur au sens de son intention. « Volontas » et « actio » L’interpretatio scripti se fonde sur 2 principes : - juridique : l’intentio, la voluntas  auteur en tant qu’intention - stylistique : l’actio, le scriptum  auteur en tant que style St Augustin fait dépendre le sens d’un texte de la voluntas et non du scriptum de la même façon qu’il subordonne le corps à l’âme. Mais de la même façon que le corps chrétien doit ê respecté, la

ds un cadre donné, afin que qu’en dehors de celui-ci les individus se soumettent ss rechigner (sorte de défouloir cf César : « du pain et des jeux »). La seconde tradition du rire est non pas morale ms physiologique. Le rire peut certes être analysé comme la manifestation d’une joie, un peu perverse, ms aussi tel un symptôme, une réaction physique. Pr Descartes « le rire n’est que cela », cad une affaire nerveuse, d’humeur, sans motif et de l’ordre de l’action physiologique. Le rire est simplement

son objectif est de contrôler la compétence des candidats dans les domaines principaux de l'analyse linguistique: orthographe, lexicologie, morphologie, syntaxe, sémantique. Le nombre de questions peut varier en fonction du texte proposé. c Etude stylistique du texte de français moderne ou contemporain (6 points) : L'étude peut être orientée par un libellé qui en précise l'objet. Elle peut porter, par exemple, sur un fait de style précisément signalé aux candidats pour leur permettre d'en conduire l'analyse

tous les temps puise dans un imaginaire commun. Chaque artiste, quand il crée, recourt à un certain fonds collectif des thèmes. Et sans aller jusqu’à nous interroger sur la validité de cette idée d’“imaginaire commun” , nous allons l’accepter et analyser ses répercutions théoriques et critiques sur la pratique littéraire en général. En effet, cette problématique pose deux perspectives d’analyse: elle met en cause l’explication positiviste causale des influences selon la théorie de l’Ecole français

entraîner dans un délire narcissique des écrivains comme: - Alfred de Musset" Je n'ai jamais chanté ni la paix ni la guerre Si mon siècle se trompe, il ne m'importe guère; Tant mieux s'il a raison, tant pis s'il a tort. - Baudelaire " Le poète est semblable au prince des nuées. Exilé sur le sol milieu des huées" " L'Emeute, tempêtant vainement à ma vitre, Ne me fera pas lever mon front de ma vitre. - Laforgue " Loin des plages, du

autant pour une question de rythme que de vraisemblance, l’intervention des Dieux. Au fond, toute réécriture est une adaptation à un lectorat dont le « traducteur » doit parfaitement connaître les attentes, une modernisation du texte : adaptation stylistique, mais aussi, nécessairement, réinterprétation par les regards neufs des contemporains. Le sens de l’œuvre originelle, tout comme sa lettre, se trouvent ainsi changés. Mais la réécriture n’est pas une simple remise au goût du jour : il reste toujours

avons tout d’abord éprouvé la nécessité d’établir des définitions claires de ces deux champs de la littérature en nous aidant de travaux récents sur la question des genres littéraires comme ceux de Dominique Combe. Les travaux de Michèle Aquien en stylistique nous ont par ailleurs permis de tenter de cerner, à défaut d’en proposer une définition arrêtée, le « genre fuyant » du lyrisme, essentiel dans la constitution du récit poétique. L’apport théorique et descriptif majeur pour notre réflexion et nos

autant pour une question de rythme que de vraisemblance, l’intervention des Dieux. Au fond, toute réécriture est une adaptation à un lectorat dont le « traducteur » doit parfaitement connaître les attentes, une modernisation du texte : adaptation stylistique, mais aussi, nécessairement, réinterprétation par les regards neufs des contemporains. Le sens de l’œuvre originelle, tout comme sa lettre, se trouvent ainsi changés. Mais la réécriture n’est pas une simple remise au goût du jour : il reste toujours