Analyse Sectorielle Et Concurrentielle Maroc Telecom

79 81 .............................................................. PARTIE 4 La stratégie marketing CHAPITRE 1 Le plan stratégique général A B C D E F Définition Qu’est-ce qu’un produit-marché ? Analyse externe Analyse du portefeuille de produits-marchés de l’entreprise (analyse interne) Les différentes stratégies de développement La présentation du diagnostic et la définition des objectifs de la stratégie marketing ..................................................................

marchés à fort potentiel de croissance en France comme à l’international, et, d’autre part, de compléter notre panel d’expertises en acquérant des entreprises leaders dans leur domaine. Pour poursuivre son développement sur des marchés fortement concurrentiels, notre groupe a besoin d’être encore plus réactif et efficace. À cette fin, j’ai proposé au Conseil d’administration de VINCI le 19 novembre 2009 de réunir les mandats de président et de directeur général, et de nommer un vice-président administrateur

simples et composés . . . . . . . . . . . . . . Les emprunts indivis . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Les choix d’investissements . . . . . . . . . . . . . . . Le bilan et le compte de résultat . . . . . . . . . . . . Le bilan fonctionnel et son analyse . . . . . . . . . . Les SIG et la CAF . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Les ratios de structure et de gestion . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

composés . . . . . . . . . . . . . . Les emprunts indivis . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Les choix d’investissements . . . . . . . . . . . . . . . Le bilan et le compte de résultat . . . . . . . . . . . . Le bilan fonctionnel et son analyse . . . . . . . . . . Les SIG et la CAF . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Les ratios de structure et de gestion . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

composés . . . . . . . . . . . . . . Les emprunts indivis . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Les choix d’investissements . . . . . . . . . . . . . . . Le bilan et le compte de résultat . . . . . . . . . . . . Le bilan fonctionnel et son analyse . . . . . . . . . . Les SIG et la CAF . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Les ratios de structure et de gestion . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

politique de relance budgétaire ; laquelle s’assigne comme principal objectif l’accroissement des dépenses publiques afin de maintenir le pouvoir d’achat des citoyens et relancer la demande durant cette période de récession. Cette politique a permis au Maroc de poursuivre la réalisation des grands projets structurants et de soutenir certains secteurs touchés par la crise, notamment les secteurs qui sont étroitement liés à l’économie internationale. Cependant, les effets pervers de la crise ont été à l’origine

simples et composés . . . . . . . . . . . . . . Les emprunts indivis . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Les choix d’investissements . . . . . . . . . . . . . . . Le bilan et le compte de résultat . . . . . . . . . . . . Le bilan fonctionnel et son analyse . . . . . . . . . . Les SIG et la CAF . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Les ratios de structure et de gestion . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

bancaire française a un rôle déterminant à jouer dans ce processus. En France, cette industrie s’est considérablement modernisée au cours des vingt dernières années. Elle a continué à créer des emplois et dispose aujourd’hui d’un positionnement concurrentiel à l’échelle mondiale qui lui est (et nous est donc en tant que citoyens français) tout à fait favorable. La participation de l’industrie bancaire française à la réalisation des objectifs de Lisbonne dépendra de sa capacité à relever les défis

% 3% Régie des Tabacs du Maroc et autres 6% Régie des Tabacs du Maroc et autres Effectif Structure du capital. au 31 décembre 2003 *. 24 844 personnes Autres (salariés…) 4% Investisseurs institutionnels 86 % Rapport annuel 2003 10 % Actionnaires individuels * Source : estimation Groupe Altadis. Altadis dans le monde N° 3 en Europe de l’Ouest Finlande Pologne Luxembourg Belgique France Espagne Italie Pennsylvanie Maroc Alabama Virginie Floride

Développement ISOC : Internet Society LISST - Cieu : Laboratoire Interdisciplinaire Solidarités, Sociétés, Territoires - Centre interdisciplinaire d’études urbaines LOSI : Loi d’orientation sur la société de l’information LPS : Lettre de Politique Sectorielle LTI : Laboratoire de Traitement de l’Information NEPAD : New Partnership for Africa’s Development [Nouveau Partenariat pour le Développement de l'Afrique]. NICI : National Information and Communications Infrastructure [Infrastructure Nationale de