Analyse Littéraire Bourgeois Gentilhomme

Comédie en cinq actes et en prose de MOLIÈRE pour laquelle on trouve un résumé puis successivement l’examen de : l’intérêt de l’action (page 2) l’intérêt littéraire (page 4) l’intérêt documentaire (page 4) l’intérêt psychologique (page 5) l’intérêt philosophique (page 6) la destinée de l’œuvre (page

l’homme. Ils nous apportent les analyses et les idées, mais aussi les images, les personnages, les mythes, et les rêves qui se sont succédé dans l’esprit des hommes : ils nous ont un jour émus parce qu’ils étaient exprimés ou décrits avec force ; et c’est de cette expérience que se nourrit la nôtre. » Jacqueline de Romilly, « Enseignement et éducation », Séance publique annuelle des cinq académies, Institut de France, le 28 octobre. L’étude des registres littéraires est inscrite dans les programmes

pour le sacre du roi. Mme de Clèves se retire à Coulommiers. M. de Nemours se rend en secret à Coulommiers mais il est suivi par un gentilhomme de M. de Clèves. Le duc espionne Mme de Clèves dans son pavillon. Elle croit l’apercevoir et rentre auprès de ses domestiques.M. de Nemours et Mme de Mercoeur rendent visite à Mme de Clèves. M. de Clèves apprend par son gentilhomme les agissements de M. de Nemours. Il pense que son épouse l’a trahi, et meurt de désespoir en repprochant à Mme de Clèves son attitude

arrêt du théâtre religieux suite au décret royal de 1548 interdisant la représentation publique de drames religieux * redécouverte du théâtre antique dans toute l'Europe à commencer par l'Italie : différence entre la commedia erudita (oeuvres littéraires aux modèles classiques) & la Commedia dell'arte (théâtre populaire proche de la farce) * renaissance de la tragédie marquée par les nombreuses interprétations de la Poétique d'Aristote : pas d'oeuvres marquantes [tragédie biblique Les Juives

Fontaine délaisse quelque peu. Mademoiselle de La Fontaine (Les femmes mariées, non nobles, mais bourgeoises étaient appelées ainsi et non "dames") se pique de littérature et fréquente à Château-Thierry une "Académie" de beaux esprits, ou salon littéraire, comme cela était fréquent à l'époque. On ne sait exactement où se tenaient les réunions, peut-être dans la maison même des La Fontaine, mais rien n'est sûr. Une lettre de Jean Racine à La Fontaine, du 4 juillet 1661 évoque cette académie : "..

d’Ostende La princesse de Clèves La promesse de l’aube La Vénus d’Ille La vie devant soi L’alchimiste L’Amant L’Ami retrouvé L’appel de la forêt L’assassin habite au 21 L’assommoir L’attentat L’attrape-coeurs Le Bal Le Barbier de Séville Le Bourgeois Gentilhomme Le Capitaine Fracasse Le chat noir Le chien des Baskerville Le Cid Le Colonel Chabert Le Comte de Monte-Cristo Le dernier jour d’un condamné Le diable au corps Le Grand Meaulnes Le Grand Troupeau Le Horla Le jeu de l’amour et du hasard Le

que Cathos et Magdelon désirent plus que tout devenir des précieuses à la mode dans Les Précieuses ridicules, tandis qu’Harpagon dans L’Avare est obsédé par son argent et son avarice, que M. Jourdain veut absolument devenir noble dans Le Bourgeois gentilhomme, Argan est, lui, obnubilé par sa santé et la crainte de tomber malade. Il est hypocondriaque et le spectateur va ici faire connaissance avec lui… Intérêt du texte : Comment cette scène joue-t-elle parfaitement son rôle de scène d’exposition

L’Ecole des femmes de Molière 1) Molière, sa vie son œuvre. De son vrai nom Jean-Baptiste Poquelin, Molière nait à Paris le 15 janvier 1622. Il était le fils d’un bourgeois parisien aisé possédant la charge de tapissier du roi. Son enfance fut marquée par des deuils successifs, dont le plus pénible fut la mort de sa mère, en 1632. Il fut élève des jésuites au collège de Clermont, que fréquentaient les fils de l’aristocratie et de la grande bourgeoisie, puis fit des études de droit pour devenir

JUAN » DE MOLIÈRE EDUARDO GARCÍA ÉTUDIANT ERASMUS COURS : LITTÉRATURE FRANÇAIS DU XVIIe SIÈCLE PROFESSEUR : M. RIOU C’est inévitable ne pouvoir pas comparer Le Dom Juan de Molière et le L’Abuseur de Séville. Dans toutes les références littéraires on peut voir le grand rapport entre les deux œuvres. Don Juan est né en Espagne. C’est là une vérité élémentaire qu’il convient de rappeler à bien des Français pour lesquels ce personnage, qui pourrait bien être fils de Molière, aurait survécu grâce

bien que la culture fait peur aux tyrans, Goebbels aurait bien dit que « Quand [il] entend[ait] le mot culture, [il] sor[tait] [son] revolver. » Mais peut-on réellement donner une définition de la notion de culture ? Est-elle simplement le savoir littéraire, artistique et scientifique accumulé par l’humanité depuis ses origines ? Est-elle, plutôt un code moral, un ensemble de normes et de valeurs comme le définit la sociologie ? Faut-il, enfin, parler d’une culture au singulier ou des cultures au pluriel