Analyse Financiere De Lafarge Du Maroc

INVESTISSEMENTS DIRECTS ÉTRANGERS DANS LE MONDE ET AU MAROC -2007- 16 Octobre 2007 SOMMAIRE Sommaire Glossaire PRESENTATION GENERALE PARTIE I: LES INVESTISSEMENTS DANS LE MONDE EN 2006 I. ETRANGERS DIRECTS LES RAISONS DE LA CROISSANCE DE L’IDE EN 2006 Multiplication des Fusions & Acquisition internationales au niveau des pays développés Investissements Greenfield Réinvestissements des profits Rôle des Sociétés Transnationales « STN » Persistance de la tendance des modifications

Satisfaction : 34 3- La Fidélité: 35 4- Hypothèses : 36 Section III : Enquête sur les variables de défection des clients d’Attijariwafa bank : 37 1- Problématique et Objectifs : 37 2- Hypothèses de recherches : 37 3- Analyse SWOT : 38 4-Méthodologie de travaille : 38 5- Propositions et solutions 40 Conclusion : 41 [pic] Mon choix a été porté sur l’une des agences bancaires de Fès, en l’occurrence l’agence de Fès-Montfleuri de « Attijariwafa bank »

obligés, aujourd’hui, de rechercher des sources d’investissement non traditionnelles et non génératrices de dettes. C’est la raison pour laquelle ils se sont orientés vers les IDE. Ce sont des investissements stables et moins sensibles aux crises financières. Ils doivent permettre de créer des opportunités supplémentaires de financement, sans alourdir la dette extérieure d’un pays. En effet, les IDE sont maintenant de plus en plus sollicités aussi bien par les pays développés que par les pays en

renouvelables en Afrique du Nord: situation actuelle et perspectives Publiée par le Bureau pour l’Afrique du Nord de la Commission économique des Nations Unies pour l’Afrique (CEA-AN) Avenue Attine - Secteur 3-A5 B.P. 2062 Rabat Riad Hay Riad, Rabat Maroc Site internet : www.uneca-an.org / www.uneca.org © CEA-AN, 2011 Tous droits réservés Toute partie de la présente publication peut être citée ou reproduite. Il est cependant demandé d’en informer le Bureau pour l’Afrique du Nord de la Commission

 1-Statut & Mission Les Chemins de Fer au Maroc ont fait leur apparition sous le Protectorat français à partir de 1911. 3 compagnies concessionnaires françaises se partageaient, à l’époque, l’exploitation du chemin de fer marocain : la Compagnie des Chemins de Fer Marocains (CFM) sur le réseau de Marrakech à Oujda, le Tanger-Fès (TF) concernant la ligne du même nom et la Compagnie du Maroc Oriental (CMO) pour la ligne Oujda-Bouarfa. Après la déclaration d’indépendance

en place…………………………….…36 Chapitre III : Etat des lieux : Diagnostic et Analyse Critique………………………….42 Section 1 : Présentation des différents outils de suivi et de pilotage au niveau d’Attijariwafa Bank …………………………………………………………..42 1-1 ATLAS ……………………………………………….......43 1-2 MARHABA……………………………………………....44 1-3 IMOPA………………………………………………........45 1-4 DALIA……………………………………………………45 1-5 INAF………………………………………………...……45 Section 2 : Analyse critique……………………………………………….….46 chapitre IV : Recommandations : Mise

1-organisation de lai chaine logistique de transport de conteneurs………...49 1-1 Etat des lieux………………………………………………………………………………49 1-2 model d´une chaine pe rformante…………………………………………………………49 2- analyse du processus import via MITA…………………………………….50 2-1 processus import Casa port/Tange r Med vers MITA…………………………………..50 2-2 analyses QQOQCCP………………………………………………………………………52 3- Les indicateurs de performance utilisés au port sec MITA……………….57 3-1 le taux de respect du délai processus sous douane………………………………………..57 a)

2003, le projet Attijariwafa Bank s’est concrétisé en Mai 2004, lorsque la Banque Commerciale du Maroc a acquis la totalité du capital de Wafabank à travers une offre publique d’achat et une offre publique d’échange, mais la fusion n’a été effective qu’au 1er septembre 2004. Ainsi, les comptes d’Attijariwafa Bank au titre de l’exercice 2004 incluent 12 mois d’exercice de la Banque Commerciale de Maroc et 4 mois d’exercice de Wafabank. Section 3 : Planning des étapes clés de la fusion [pic]

groupe bancaire et financier du Maghreb et huitième au niveau africain, Attijariwafa bank bénéficie d’une assise financière solide, d’un capital de savoir-faire diversité et d’outils d’expertise modernes, qui le positionnent aujourd’hui en acteur clé du développement économique marocain. Elle est née de la fusion de deux banques marocaines en 2003 Wafabank et la Banque Commerciale du Maroc (BCM), elle est une filiale de l'ONA, groupe royal marocain. Tout ces facteurs là m’ont permet de faire

Introduction générale : Le Maroc est encor considérer parmi les pays en voie de développement, qui soufre d’un ensemble des difficultés sur le plan économique et donc sur le plan social aussi. L’économie marocaine se trouve entraver par des problèmes qui demeurent très complexe et qui ont des racines très profond dans la structure marocaine global. L’économie nationale reste très attachée aux conditions climatiques et aux exportations des ressources naturelles comme les mines. La structure économique