Analyse Fin Un Roi Sans Divertissement

aimé le pouvoir, la gloire, les femmes et l’argent, risquant « sans hésiter leur bien le plus précieux, leur vie » pour les obtenir[9]. Bennassar raconte par exemple la vie de Rodriguo Calderón, homme politique parvenu, grâce aux faveurs du favori du roi, au sommet du pouvoir et des richesses. Son ascension fulgurante a provoqué bien des jalousies et a entraîné sa chute. Accusé d’avoir empoisonné la reine, il est emprisonné, privé de ses biens et torturé avant d’être exécuté. Bennassar propose

chaleur. La « sottie » est un genre qui met en scène des fous et permet une critique du monde. Par opposition, la farce ne s’adressait pas à l’esprit. Les travaux de Bakhtine constituent un tournant ; le rire et le comique gras ne sont plus analysés comme des facilités. Valeur idéologique pour la culture populaire. Système des images, références à la vie culturelle du MA. « Joyeuse vérité proférée par le monde » , différent du discours religieux, etc… Images corporels représentants un mouvement

Terres littéraires p.306 2. Guy de MAUPASSANT, Bel-Ami (1885), incipit jusqu’ à « au mauvais sujet des romans populaires. » Littérature tome 2 p.207 3. Guy de MAUPASSANT, Bel-Ami (1885), épilogue de « Lorsque l’office fut terminé » jusqu’à la fin - photocopie 4. Boris VIAN, L’Ecume des jours (1947), incipit jusqu’à « des grappes de petites bulles savonneuses. » photocopie II. Pour l’entretien : Textes complémentaires étudiés en lecture cursive : * Mme de La Fayette, La Princesse

obstacles - obstacles extérieurs : refus de l’être aimé, interdits familiaux, raison d’État, ou intérieurs, comme un fort sentiment de culpabilité – et la crise s’amplifie graduellement jusqu’à une issue le plus souvent fatale. Tout en se livrant à une analyse lucide des sentiments ou des signes de la passion, le héros qui souffre d’un amour pathologique ou d’un appétit incoercible de pouvoir est incapable d’obéir à la raison. Il se débat vainement contre ses pulsions et le spectateur assiste à une marche

peut être un divertissement, un plaisir futile (au sens Pascalien). Le lecteur souhaite éprouver des sensations intense, il va se plonger dans un récit extraordinaire qui sollicite son imagination. Ce récit peut être historique : Les trois Mousquetaires de Dumas, Le hussard sur le toit de Giono, Salammbô de Flaubert. En effet, ces œuvres ont le pouvoir de transporter vers d’autres époques. Elles peuvent raconter des aventures merveilleuses et chevaleresques comme la légende du roi Arthur où les

effets grossiers) : exemple du jeu de saint Nicolas par Jean BODEL. Adam de la HALLE : Jeu de la feuilleté, Jeu de Robin et Marion ; premières pièces de théâtre entièrement profanes et la littérature médiévale. 3. Jean BODEL (fin XIIe – 1210), p 61 Jongleur de profession, engagé une partie de sa carrière par l’échevinat d’Arras : auteur prolifique qui toucha à tous les genres ; depuis la chanson de geste à la poésie lyrique. Le Jeu de saint Nicolas

scientifique. Il faut donc retenir que le propre des lumières réside dans la liberté de penser par soi-même que permet l’utilisation de la raison. Plus rien ne doit être écrit sans démonstration plus rien ne doit être affirmé sans preuve et sans analyse. Les écrivains des lumières pensent que la littérature doit être une philosophie de la vie, et doit permettre d’aider les hommes à résoudre les difficultés sociales auquel ils sont quotidiennement confrontés, et à les faire sortir de leur état de

infinis (p.484) On mesure la relativité de l’homme dans l’espace infini. On cherche a comprendre en quoi ce texte est étonnant. On en analyse la progression rhétorique. On le replace dans le grand projet apologétique de l’auteur. -Texte 2 Pascal Le divertissement (p.394) Cette fois la pensée cible une détresse morale. On mesure l’évolution du mot divertissement de Pascal jusqu’à nous. On montre la rhétorique que Pascal met en place. On aborde l’argumentation également. -Texte 3 Malherbe

secteurs de l’activité, notamment les activités éducatives et artistiques. Ainsi on considère l’art comme un loisir quelconque auquel on peut substituer tout autre loisir : on va au musée comme on va à la plage. Ce n’est dans les deux cas que du divertissement sans conséquences contrairement aux activités sérieuses qui permettent d’améliorer le sort des humains comme la technique, l’économie ou la politique. Toutefois la création ou la contemplation d’œuvres d’art sont-elles sans effet sur l’artiste

visions et  « recettes » du bonheur que transmettent les auteurs étudiés. Lectures analytiques : 1. Blaise Pascal, Pensées, 139, 1670 : “quand je m’y suis mis quelquefois à considerer les diverses agitations des hommes … Car il est malheureux tout roi qu’il est si il y pense.” 2. Voltaire, Candide, Chapitre 30 : Conclusion : « Ayant dit ces mots, il fit entrer les étrangers dans sa maison … - Cela est bien dit, répondit Candide, mais il faut cultiver notre jardin. » 3. Choderlos de Laclos, Les