An I du calendrier républicain

république). La République en France s’entend de plusieurs manières. Elle s’entend dans le sens où le chef de l’Etat est élu au lieu d’être autoritaire. Elle s’entend aussi dans le sens où l’ensemble du pouvoir repose que le suffrage universel : forme républicaine de gouvernement. Enfin, elle s’entend dans le sens où le pouvoir est chose publique (respublica), impliquant que les détenteurs de ce pouvoir l’exercent non en vertu d’un droit propre mais en vertu d’un mandat confié par le corps électoral. Cette

le retour de la dissolution tombé en désuétude sous la IIIème République et presque impossible à mettre en place sous la IVème, dont la nécessité est évoquée dans le discours de Bayeux. On a aussi le retour du référendum dans le cadre du système républicain même s’il est aujourd’hui en déclin. Cette procédure était avant cette date considérée comme une procédure Bonapartiste. Le contrôle de constitutionnalité est aussi une innovation majeure. Ce contrôle a longtemps été refusé et considéré comme Bonapartiste

royauté : la noblesse établie, les gentes, va organiser une oligarchie exemplaire. Les pouvoirs du roi passent à des magistrats, les consuls (deux) qui n’abandonnent que les fonctions religieuses, confiées au Pontifex Maximus. Ils sont nommés pour un an. Le Sénat compte 300 membres (140 patres de l’ancienne noblesse et 160 conscripti, admis à titre individuel). De 509 à 490, tous les consuls appartiennent au Sénat puis les patres éliminent les conscripti. Le patriciat devient une noblesse de fait,

est donc nécessaire de dégager sur chaque texte des majorités d'idées lorsqu'une majorité politique n'est pas possible à réunir ce qui est facilité par la souplesse partisane de la vie politique américaine même si le clivage entre démocrates et républicains est plus affirmé depuis quelques années qu'il ne l'était dans l'histoire de la vie politique américaine. Le Congrès est le terme pour désigner le Parlement ; il est composé de la chambre des représentants (renouvelé tous les deux ans) et le Sénat

encore la Tyrannie (turannos) individu qui accède au pouvoir par la force. ------------------------------------------------- ------------------------------------------------- Hypothèse 2 : quelques individus qui gouvernent : L’aristocratie (aristos, i : les meilleurs) ------------------------------------------------- ------------------------------------------------- Ou encore l’oligarchie (oligoi : quelques uns en grec) ------------------------------------------------- -------------------------------------------------

.............................................................................................5 Préambule : Comment parler de « race » ? .................................................9 Partie I : État des lieux...........................................................................17 Chapitre I : Réalités de la discrimination................................................19 Chapitre II : Un idéalisme stérile...........................................................31 Partie II : Principes

Révolution o I : Les causes profondes de la Révolution française : la crise d’une société d’ordre  A : Les contradictions fondamentales de cette société d’ordre  B : L’Etat des forces sociales à la fin du XVIIIe o II : Les causes immédiates de la Révolution française : la crise de la monarchie  A : La crise des finances royales  B : L’impuissance de la monarchie face à la crise économique et sociale  Chapitre 2 : La révolution bourgeoise et le soutien populaire o I : La chute de

eux même, on va instaurer un suffrage à deux niveaux. On va faire élire par les citoyens les grands électeurs, qui eux éliront les députés. Pour pouvoir être un grand électeur, les révolutionnaires créent une condition, celle de payer 50 livres par an, et d’être propriétaires. Cette question de l’accès à l’électorat va être un point de clivage très important sous la révolution avec d’une part les modérés (bourgeois, les Girondins) pensent qu’il faut se méfier du peuple. JJ Rousseau pense que

nouveaux régimes politiques qui mettent en pratique des concepts nouveaux et rejettent le despostisme. En Europe, un certain nombre de pays opte pour l'absolutisme éclairé I. Le modèle anglais C'est une monarchie tempérée qui respectent les libertés. Elle est né de la révolution politique du XVIIè. Le roi d'Angleterre, Charles I Stuart a voulu fonder un régime de monarchie absolue mais a rencontré une forte opposition. En 1649 la monarchie est renversée et le roi exécuté. Il s'ensuit une période

Religieuse et cîe Progrès Social ABf NBMBNÏS DIRECTION: 25, Rue Roquelaine, TOULOUSE - Téléphone 2-12, Chèque Postai 4.936 39 e ANNEE - N° 13.679 Fr»n» 01 Coioou».. 22i» 43b 62b _ } tUsmi-uriitxsu) 351r 70& 140(r tLttanmr } ^ g^^,,, 60 i. » e0 «, aoo v Véhicule ultra-moderne Les Idées et les Faits MARDI 16 SEPTEMBRE 1930 Bureaux de Publicité à PARIS, 13, Boulevard des Italiens L'agitation aux Indes MEETING MONSTRE Le p'.ns jeone Maire de France Coulommiers, 15