Aérofrein

au vent) ou à maximiser le couple transmis au rotor pour la faire démarrer. Le pas fixe empêche les pales d'accélérer en utilisant l’effet Stall qui agit comme un frein par le décrochage aérodynamique au niveau de la pale du rotor. Les volets (aérofrein ou flaps) s’ouvrent automatiquement, si la vitesse du vent devient excessive ou si un problème est décelé, et ralentissent les pales ou diminuent leur portance en provoquant un décrochage aérodynamique. Les spoilers, encastrés dans le bord d'attaque

FUITE OU DE LEUR SÉLECTEUR DE POSITION AU POSTE DE PILOTAGE POSITION DES BECS DE BORD D’ATTAQUE OU DE LEUR SÉLECTEUR DE POSITION AU POSTE DE PILOTAGE ÉTAT DES INVERSEURS DE POUSSÉE POSITION DES VOLETS DE FREIN DE SOL (“SPOILERS”) ET/OU SÉLECTION DES AÉROFREINS TEMPÉRATURE TOTALE OU STATIQUE MODE PILOTE AUTOMATIQUE, AUTOMANETTE, CADV ET ÉTAT D’ENGAGEMENT ACCÉLÉRATION LONGITUDINALE (AXE DU FUSELAGE) ACCÉLÉRATION LATÉRALE Tableau A2 — Avions dont la masse maximale certifiée au décollage est égale ou inférieure

Fz = × ρ × v² × S × C z , 2 par Ces systèmes sont commandés par le pilote ou sont automatiques. Page 48 …/… 4.2 LES SYSTEMES DE FREINAGE AERODYNAMIQUE. Réduire la vitesse de l’avion en vol comme au sol. Les différents systèmes : • les aérofreins, • le parachute frein, • la reverse, • l’inverseur de poussée. …/… Page 49 LE VOL À GRANDE VITESSE 1 LES DOMAINES DE VOL 1.1 SYNOPTIQUE DES DOMAINES DE VOL. SY PT UE DE D M INE D V L NO IQ S OA S E O SUBSO UE NIQ TA R NSSO UE NIQ

En effet, interviennent également le freinage aérodynamique (traînée de l’avion, aérofreins et même parachute de queue dans certains cas) et l’inversion de poussée des réacteurs (apparue dans les années 1960). Toutefois le freinage des roues est prépondérant et devient même le seul efficace dès que la vitesse a commencé à décroître. En outre, pour des raisons de sécurité, ni l’inversion de poussée ni les aérofreins ne sont pris en compte pour le dimensionnement des freins de roues. Il faut cependant

configuration lisse », une « vitesse minimale » ou une vitesse spécifiée. Note.— Par « vitesse minimale en configuration lisse », on entend la vitesse minimale à laquelle l’aéronef peut voler sans déploiement des dispositifs hypersustentateurs, des aérofreins ou du train d’atterrissage. 4.6.3.3 Dans le cas des aéronefs à turboréacteurs en phase de descente initiale à partir du niveau de croisière, les réductions de vitesse amenant la VI à une valeur inférieure à 460 km/h (250 kt) ne devraient être