Aérofrein

: a) ne change pas b) est multipliée par 9 c) est multipliée par 3 d) diminue légèrement C b) le point B 3/ l'extrados d'une aile ou d'un profil désigne : a) sa partie supérieure b) sa partie inférieure c) les extrémités d) les aérofreins B c) le point C A d) le point D Cx 4/ En vol normal : a) l'extrados de l'aile est le siège d'une dépression b) l'intrados de l'aile est le siège d'une surpression c) l'aile est "décrochée" d) les propositions "a et b" sont exactes

des fonctions primordiales d’un avion au même titre que la propulsion et la sustentation. Outre les freins, l’avion peut être ralenti par d’autres moyens : - les inverseurs de poussée des moteurs - les aérofreins. - le parachute arrière - la crosse d’appontage, utilisée sur les porte-avions. Dans un premier temps, nous aborderons la problématique du système de freinage ; nous retracerons les points marquants de

entre la roue et le rail, en particulier dans les régions montagneuses où la prise de vitesse s'avère difficile. Le freinage est lui aussi assuré par le moteur linéaire mais d’une façon inverse pour réduire la vitesse. Il est accompagné par des aérofreins situés sur le haut du train et qui permettent d'augmenter les frottements de l'air et donc de freiner encore plus la machine. En outre, le système de propulsion permet de contourner à la fois les complications qu'implique l'adhérence, et celles

autour de ces positions d’équilibre: exemple: changer d’altitude, changer de cap. Ces commandes sont de court terme avec un temps de réponse rapide. « Elevators/Gouvernes de profondeur , Rudder /Gouverne de lacer , Ailerons/ ailerons, Spoilers /Aérofreins. » Figure7. Les surfaces de commande . Rôle du THS: stabiliser l’avion en croisière.

alors que l’avion est à pleine charge de carburant et lancé à la vitesse de décollage (même si le risque est de l’ordre de 1 pour 1 million de décollages). Outre les freins, le pilote peut aussi actionner les inverseurs de poussée des moteurs et les aérofreins. La fonction globale de freinage doit répondre à des exigences économiques et opérationnelles extrêmement élevées :  Les exigences économiques sont essentiellement relatives à la maintenance des équipements et au renouvellement des parties consommables

par la surpression sur la surface totale de la voilure créé la resultante aérodynamique. d.Controle de la portance et de la trainée. En vol,certains dispositifs permettent d’augmenter fortement la trainée sans modifier la portance,ce sont les aérofreins. Ils permettent notamment : *en palier :de ralentir l’avion. *en descente :d’augmenter la pente *a l’atterrissage :de diminuer la distance d’atterissage. Ces dispositifs ne sont utilisés que dans les phases de décollage et d’atterissage,donc

lève. Les spoilers 2 à 5 sont utilisés en assistants du gauchissement. En utilisant les ordres venant des ELACs, qui contrôlent les ailerons, chaque SEC envoi ses ordres à 1 ou 2 paires de spoilers. Enfin, les spoilers sont également utilisés en aérofreins. Cette fonction est contrôlée par les calculateurs SEC1, SEC2 et SEC3 avec les spoilers 2, 3 et 4. Page 16/23 La manette de speedbrake indique la position souhaitée et les calculateurs agissent sur les servocommandes des spoilers pour définir

bulletin de prévision d'aérodrome Temporairement Temps Significatif orage temps universel coordonné Validité 13/02/2011 ANGLAIS Vocabulaire & annales corrigées 3/31 Liste de vocabulaire aéronautique exigible Français → Anglais Français aérofreins aileron aile ailette d’extrémité d’aile (ou penne) allumage altimètre altitude amortir anémomètre ou Badin approche arrière (vers l'arrière de l'appareil) atterrir autorisation (clairance) autorisé (pour une option) avertisseur de décrochage avion

aéronef. Un avion est constitué : D'une cellule comprenant le fuselage, les train d'atterrissages, la voilure (aile et empennage) et les éléments mobiles de la voilure (ailerons, gouvernes, volets), y compris éléments aux fonctions combinées (aérofreins et gouvernes de profondeurs") ; D'un ou de plusieurs groupes moteurs et propulseurs à hélice ou à réaction; De commandes de vol capables de transmettre les actions du pilote aux gouvernes; D'instruments de bord d'indications et de contrôle pour

ingestion d’oiseaux par les réacteurs,…) conduit le commandant de bord a interrompre le décollage. Il le fait à l’aide des moyens a sa disposition : réduction de la poussée des réacteurs, utilisation des reverses (inverseurs de jet), des freins et des aérofreins, afin d’arrêter son avion avant la fin de la piste. En cas de panne moteur, le pilote utilisera le drapeau afin de corriger sa trajectoire. • Dés que cette vitesse V1 est dépassée, quelque soit le problème survenue, tout doit être mis en oeuvre