Acte unilatéral

excès de pouvoir (A), ainsi que les illégalités de l’arrêté devant nécessairement être soulevé par l’association (B). A- Les conditions de recevabilité du REP Le REP est un recours d’ordre public puisque toute personne peut l’intenter contre tout acte administratif, même sans texte (CE, 1950, Dame Lamotte). Toutefois, pour pouvoir l’intenter, encore faut t’il remplir les conditions tenant au requérant (1), ainsi qu’à la requête (2). 1- Les conditions tenant au requérant La nécessaire personnalité

payer à cette dernière la somme promise. II) d’une autre part, il peut s’agir d’un acte juridique unilatéral dont l’obligation a pour but de ne s’appliquer qu’à la charge de celui qui s’engage. La volonté d’un seul s’exprime et ne produit d’obligations que pour une seule partie (la partie dont la volonté s’est exprimée, Considérée comme une sixième source d’obligations par certains auteurs, l’engagement unilatéral de volonté suppose que l’on peut se constituer débiteur d’autrui unilatéralement :

de Seine-Maritime. Par cette solution, le Conseil d’Etat a consacré un principe général du droit (PGD) qui s’inspire d’un acte législatif, le décret du 3 janvier 1980. Ce dernier, plus particulièrement son article 6, a déjà fait l’objet d’un contentieux soumis au Tribunal Administratif de Lyon le 5 août 1985 (Driai) au sujet d’une incompétence de refus d’inscription. Cet acte législatif pose des conditions et confère à l’inspecteur d’académie des prérogatives d’une certaine importance. De plus, cet

dispositions que le législateur en les édictant a entendu instituer un service public administratif dont la gestion est confiée sous le contrôle de l'administration à des organismes de droit privé. Que dans le cas où ces organismes prennent des décisions unilatérales individuelles qui s'impose aux propriétaires ou au usagers intéressés, celle-présentent le caractère d'acte administratif relevant de la compétence de la juridiction administrative. Ce qui est le cas lorsque la fédération départementales des groupements

L’ensemble des connaissances indispensables à la compréhension du droit des contrats et de la responsabilité civile est présenté dans cet ouvrage, de façon claire et structurée en trois parties : • la première sur l’acte juridique qui est défini comme un acte de volonté destiné à produire des effets de droit. Le contrat est l’acte juridique majeur, le plus courant, mais il en existe d’autres ; • la seconde partie est consacrée au fait juridique qui est un fait que la loi prend en considération pour y attacher

En droit français des obligations, le consentement est le fait de se prononcer en faveur d'un acte juridique, au sens large, et particulièrement, de toute convention, de tout contrat. Le consentement est en effet l'élément fondamental dégagé par la doctrine de l'autonomie de la volonté : celui qui s'oblige, qui se rend débiteur d'une obligation, doit y avoir préalablement consenti. Le contrat, comme principale source des obligations juridiques, ayant adopté la théorie de l'autonomie de la volonté

manifestation de volonté dont l’objectif est de produire des effets de droit. Par exemple, une convention, un testament,… Il existe trois différents types d’actes juridiques : les actes juridiques unilatéraux, les actes juridiques bilatéraux et les actes juridiques multilatéraux. a. Les actes juridiques unilatéraux On peut les définir par le fait qu’une personne par sa seule volonté va déterminer les effets de droits. Par exemple : un arrêté ministériel par lequel sont nommés les fonctionnaires, ou proclamés

Un acte administratif décisoire, c’est-à-dire donc une décision administrative porte 1 - le nom de décret s’il émane du Président de la République ou du Premier ministre (dé- cret réglementaire ou décret individuel selon qu’il s’agit d’un acte réglementaire ou d’un acte indi- viduel) 2 - et le nom d’arrêté s’il émane d’une autre autorité administrative que le Président de la République ou du Premier ministre (arrêté réglementaire ou arrêté individuel selon qu’il s’agit d’un acte réglementaire

faire qqch est trop vague. C’est un contrat par lequel ne personne, le mandant, donne a une autre, le mandataire, le pouvoir d’accomplir des actes juridiques en son nom et pour son compte. Accomplir un acte juridique : Conclure des contrats mais également des actes juridiques unilatéraux, le fait d’accomplir des actes juridiques permet de distinguer le mandataire du courtier. Le courtage n’est pas un mandat car le courtier a pour obj de lettre en relation deux personnes et si par la suite elles

 Chapitre 3  : Les Contrats Section 1 : Le contrat : un acte juridique incontournable I – La notion de contrat A – Un acte juridique créateur d’obligations L’article 1101 du Code Civil définit le contrat comme une convention par laquelle une ou plusieurs personnes s’obligent envers une ou plusieurs autres à donner, faire ou à ne pas faire quelque chose. Le consentement est le produit de l’échange des volontés sans qu’aucun formalisme ne soit nécessaire en principe. Pour autant, la loi