Acte constitutionnel

droit administratif, Montchrétien, 6 e édition Livre de Truchet Chapus Livre de Yves Gaudemet, LGDJ, manuels, 6 e édition Le GAJA Introduction : Le droit administratif est une branche de droit public, il a un champ plus limité que le droit constitutionnel car il traite seulement du pouvoir exécutif. Il se concentre à propos du pouvoir exécutif, sur l’administration. Il organise l’organisation administrative de la France, il s’intéresse aux activités, aux moyens dont disposent ces organes. Dans

que celle des parents d'intention, elle se référe ici au Royaume-Unis(doc14). La secrétaire d'Etat chargée de la Famille dans un interview accordé à Libération rappelle que les personnes en faveur de la GPA argumentent au niveau du droit constitutionnel sur la liberté individuelle(doc17). B. Arguments des opposants à la GPA Différents arguments sur les mêmes champs que les partisans sont développés par les opposants à la GPA, favorable au maintien de la législation actuelle. Ils développent

particuliers, les personnes privées. A l’inverse, le droit public est le droit qui régit l’Etat et qui régit d’autres personnes publiques (L’ETAT, Collectivités territoriales). Le droit public comporte lui-même plusieurs spécialités : le droit constitutionnel qui régit les relations entre pouvoirs publics et les relations entre les pouvoirs publics et les citoyens, le droit international public qui régit les relations entre les Etats, le droit budgétaire et financier qui régit les relations entre les

deux catégories : - un pouvoir de protection - un pouvoir de coercition Ces deux catégories se regroupent Les pouvoirs de protection : correspondent en France a des services publics nationaux et dans certains cas à des services publics constitutionnels c'est-à-dire des services publics dont l’instauration est exigé par la constitution elle-même service public : obligation imparti à l’Etat le plus souvent des service administratif de pourvoir aux besoins essentielles de la population résidente

qui dispose en ce sens d’un véritable pouvoir normatif (voir la décision de 1971 par exemple) ; que des interprétations par les pouvoirs politiques (les pouvoirs institués, les gouvernants), avec le développement de coutumes constitutionnelles ou de conventions constitutionnelles. La Constitution est donc à la fois texte écrit (ou non) et processus ; elle est un exercice de prévision. L’interprétation de la Constitution ouvre de la sorte vers un espace continu de création de normes. La Constitution

du 16 fructidor an III : «Défenses itératives sont faites aux tribunaux de connaître des actes d'administration, de quelque espèce qu'elles soient. ». Ce principe est également réaffirmé par la décision « Conseil de la concurrence » du Conseil Constitutionnel du 23 janvier 1987. Cette stricte séparation s'explique par des considérations tant historiques que théoriques. D'une part, l'Assemblée Constituante garde le souvenir des refus d'enregistrement des lois édictées par le Roi sous l'Ancien Régime

sont très difficiles. Egalité des sexes, possèdent une valeur constitutionnelle, prévue dans le préambule de la constitution de la 4ème république, et dans le cadre de la CEDH. C’est ce principe qui a motivé la modification du nom de famille en 2002. Aujourd’hui, du point de vue juridique pratiquement totalement disparu. IV- Les actes de l’état civil Constater et publier l’état d’une personne : - sa naissance (acte de naissance) - le mariage - le décès - la reconnaissance d’une

DROIT CONSTITUTIONNEL Chapitre 1 : L’ETAT Section 1 : la notion d’état §1. L’origine Produit de la volonté humaine Produit de la nature §2. La définition descriptive Un pouvoir politique organisé Une population Un territoire §3. La définition juridique Une approche jus naturaliste du rapport état/droit La conception positiviste du rapport état/droit Section 2 : la souveraineté §1. L’état : une personne souveraine Une personne juridique Une personne souveraine §2

individuelles ne se situe que dans la voie de fait car celle-ci constitue un niveau supérieur d’illégalité dans l’action de l’administration. Ainsi une des caractéristiques de la voie de fait se trouve être la violation d’une liberté individuelle par un acte administratif ou par l’exécution de l’acte administratif. C’est pour cette raison que le juge judiciaire sera compétent pour connaitre d’un litige, en effet, il est considéré comme étant le gardien des libertés individuelles. Par conséquent, même si

Droit constitutionnel des cantons Examen : pas de cas pratique mais de simple questions. Pas un seul document. Acheter le polycopié lavande + avoir la constitution. Pour la prochaine fois lire les documents 1 23, 33, et 35, parcourir les documents 2, 3, et 4. Nicolas Schmitt : Le droit intercantonal comparé, reflet de l’essence même du fédéralisme, in LeGes 2012/3 p. 277 ss. [contient quelques erreurs] ----- ------- ------- -------- ------- -------- -------- --------- Les principes