Accords de Matignon

préparation à la guerre. 1) Des démocraties occidentales repliées sur elles-même et insensibles aux signes avant-coureurs de la guerre France : Élection du front populaire le Grèves générales (soulagement ou tensions?) Accords de Matignon le 7 Juin Dévaluation du franc le 29 Septembre Grande-Bretagne Crise de la royauté (mariage Édouard VII et Wallis Simpson, roturière) Édouard VII choisit d'abdiquer plutôt que de provoquer une crise ministérielle

tentatives de coup d’Etat de 1960 et 1961 qui amènent les parlementaires à accepter son emprise grandissante voire un recours à l’article 16. L’attitude de Debré, si dévoué qu’il en devient servile, équivaut à un exercice par l’Elysée des prérogatives de Matignon, principalement pour l’Algérie. Le Président bénéficie d’un « domaine réservé » (mot de Chaban) plus ou moins constitutionnel autour de la diplomatie et de la défense ; il a également un lien privilégié avec le peuple. Mitterrand pale d’un « Coup

générale, les inégalités de revenu ont eu tendance à s’accentuer au cours de la croissance. […] De 1958 à 1967, le pouvoir d’achat du Smig n’augmente que de 6 % contre 32 % pour le salaire horaire moyen ; et malgré le rattrapage exceptionnel de 1968 (accords de Grenelle) suivi de l’instauration du Smic, la parité de 1958 n’est toujours pas retrouvée en 1973. Quant à la croissance explosive des effectifs scolaires et universitaires, elle ne suffit pas à garantir pour l’avenir une mobilité sociale accrue

l'état monarchique, on réprimait sévèrement les grèves, puis sous l'empire libéral vers 1864 elle se légalise progressivement avec la loi Ollivier. Mais les fonctionnaires tardent à obtenir ce droit, et devront attendre 1946 pour que la constitution accorde pleinement le droit de grève bien que « Le droit de grève s'exerce dans le cadre des lois qui le réglementent », art. 7 du préambule. Quand on parle des grandes grèves en France, on fait généralement allusion aux deux plus grandes grèves que la

faire pression sur le gouvernement pour obtenir des réformes. B/ Le temps des réformes Les accords matignon sont signés en juin 1936 entre les syndicats de patrons et des salariés avec l'arbitrage du président du conseil (Blum). Les syndicats sont reconnus par les patrons et des délégués du presonel créés Les salariés sont augmentés de 7 a 15 % Des conventions colléctives sont prévues Accord patrons/salariés qui concerne un secteur professionel particulier sur les conditions de travails

organise une négociation tripartite entre celui-ci, le patronat et la CGT. De cette négociation est ressortie les accords Matignon (Dans la nuit du 7 au 8 juin 1936). Ces accords établissent, tout d’abord, les conventions collectives. Ces conventions sont essentielles car elles valorisent le travailleur et accordent une plus grande importance aux salariés. Ces accords imposent aussi, une augmentation des salaires, de 7 à 15 %, ce qui fait augmenter le pouvoir d’achat. D’autres mesures

coalition, devient président du conseil. Il constitue un gouvernement que les communistes soutiennent, sans pour autant y participer. Pour mettre fin aux grèves, il organise des négociations avec les syndicats et le patronat qui débouchent sur les accords Matignon en juillet 1936. Les salaires sont augmentés de 7 à 15%. Les syndicats sont reconnus dans les entreprises. Des lois sociales sont votées par le parlement qui instaure quinze jours de congés payés pour les travailleurs et mettent en place les

droite. II Le front populaire 1/ 1936 : la victoire du Front populaire Elections législatives de 1936 : le Front populaire a la majorité absolue. Léon Blum devient président du Conseil. Grèves spontanées. 2/ Le temps des réformes 7 juin : accords Matignon fortes hausse de salaires, liberté syndicale, congés payés (15 jours), semaine de travail à 40 heures. Le gouvernement nationalise les industries d’armement et les chemins de fer (création de la SNCF). 3/ La chute du front populaire Le chômage

martiniquais  Au début de l’industrialisation, la loi Chapelier (1791) proscrit les organisations de défenses des salariés. Ce n’est qu’en 1884, avec la loi Waldeck-Rousseau, que les Français obtiennent le droit d’association et en 1936, par les accords de Matignon, le droit syndical. Ainsi un syndicat est une association de défense de certaines catégories socioprofessionnelles /…/ comme moyen d’expression face au système économique en place et à une orientation idéologique, religieuse plus ou moins affirmée

n’arrive pas à sortir totalement les USA de la crise à la veille de la sde GM (près de 10millions de chômeurs, soit 16.7 de la pop act). Le ND a permis de moderniser le pays et redonner confiance aux Américains. C)Du Front populaire aux accords Matignon PPO p 43 La crise touche la France à partir de 1931. Elle favorise la montée en puissance d’une extrême droite qui manifeste son hostilité au régime républicain lors de la journée du 6 fev 1934. Cette situation