Abri Stevenson

La période de détention, qui correspond à une peine privative de la liberté d’aller et de venir, doit être non seulement celle de la punition, mais aussi celle de la reconstruction. En effet, toutes les personnes détenues, y compris celles condamnées à de très longues peines, sont appelées à recouvrer la liberté. Dès lors, c’est cette perspective de réinsertion sociale et professionnelle, véritable exigence au regard de la démocratie, du civisme et de la lutte contre la récidive, qui doit guider

vie de tout le monde. C’est un combat qui est loin d’être gagné, et Lou l’a compris. Mais Lou ne veut pas l’admettre, elle voudrait que les choses soient autrement. Que chacun trouve sa place ! 2 - Résumé « Il y a plus de deux cent mille sans-abri en France et les services sociaux ne peuvent pas faire face. Chaque nuit des milliers de gens dorment dehors. Il fait froid. Et à chaque hiver des gens meurent dans la rue. » Lou Bertignac, 13 ans, intellectuellement précoce est une élève brillante

révèle impossible pour ceux atteint de pathologie qui ne peuvent, sans aide, la tenir. Ce contraste se voit également dans le rapport entre travailleurs sociaux et l'individu. L'aboutissement du suivi est la réinsertion professionnelle que le sans-abri déclare vouloir atteindre. Mais le temps faisant s'ensuit des occasions manquées, des aléas de la vie, parfois la fuite du soigné qui se solde par l'abandon du projet aussi bien par le professionnel que par le SDF. Ainsi le système, voulant répondre

Précarité et Santé. Quels rapports faîtes vous ? 1. Définition du mot santé 2. définition du mot précarité 3. Rapport, lien entres les deux La santé est l’absence de maladie « être en bonne santé signifie être en bonne forme physiquement, psychiquement et socialement ». Elle se traduit par une hygiène individuelle, un bien être corporel et une insertion dans la vie sociale et professionnelle agréable. Résister à certains traumatismes et atteintes de l’environnement La précarité

Le clochard abandonné Il marchait au long du trottoir. Ses pieds engourdis ne pouvaient plus le porter. Mais sa volonté lui donnait de l’espoir. Un clochard dans la rue, abandonné et laissé sans abris. Il n’avait rien à mettre dans l’estomac. Il continua de marcher sans savoir sa destination. Il arrêta devant un jardin public mais n’osa pas entrer. Il regardait les gens heureux et joyeux, les enfants qui jouaient dans le bac à sable et qui couraient comme des fous. Le vieux clochard

sous-locataires - parmi les locataires, 300 000 ménages sont en situation d'impayés de loyers dont deux tiers dans le parc social, soit environ 1 million de personnes - 146 000 personnes dans des maisons mobiles (recensement 1990) - 10 000 sans abri à Paris pour une nuit moyenne de l'hiver 1995 - 86 000 personnes étaient "sans domicile". Source : Ministère du Logement, de l'Equipement et des Transports - Questionnaire de la Commission de la Production et des Echanges. Projet de LFI pour 2001

rencontrent des problèmes d'alcoolisme, de dépression... Une typologie européenne de l'exclusion du logement permet de classer les personnes sans domicile en fonction de leur situation de vie: 1° être sans abri (dormant à la rue ou en hébergement d'urgence) 2° être sans logement (avec un abri mais provisoire dans des institutions ou foyers) 3° être en logement précaire (menacé d'exclusion en raison de baux précaires) 4° être en logement inadéquat (dans des caravanes sur des sites illégaux)

les plus démunis des trottoirs, des porches ou des devantures de magasins ou d'entreprises. Ces initiatives dénotent un manque de solidarité et créent un grand malaise social. L'INSEE a dénombré en janvier 2001 environ 86 000 SDF en France. Les sans-abri, selon Wikipédia, ne sont pas dans la rue par choix, seulement 6,3 % d'entre eux se disent dans cette situation par refus d'intégrer la société. La principale cause du "sans-abrisme" en France est le manque de logements sociaux. Une étude réalisée

RAZANAJATOVO épouse HOARAU Myriame Aimée Sujet N° 5 Depuis l'enfance l'adulte apporte des soins a son enfant afin de favoriser son développement et sa croissance. L'adulte lui apprend à devenir autonome se laver seul s'habiller c'est ce qu'on nomme « besoins fondamentaux » il convient de préciser que cela varie selon notre âge et notre degré d'indépendance, ces soins reposent sur la tradition, l'éducation et la culture dans la quelle on vit. Auparavant Mr Albert vivait dans la rue sans domicile

Les exclus Décrire la photo Pourquoi le journaliste l’a prise Comparer les différents regards portés sur cette photo (politiques, écrivains…)  Description de la photographie :  Au premier plan nous pouvons apercevoir un chemin de fer. Le chemin de fer signifie la communication entre plusieurs populations. Mais nous voyons malgré tout plusieurs sans domicile fixe, ceci détruit en quelque