Premier plan : sur un gamin, il perd le match, il enlève son maillot, il est en colère, il a la rage, la haine. Il garde le ballon avec lui. En marchant, il jette maillot, et là se trouve Raoul Barrière, qui intercepte le gamin, le regarde dans les yeux et lui dit : « Petit, retourne toi, je pense que tu as perdu quelque chose ».
Le petit : « Non, je l’ai jeté, j’ai honte ! »
Raoul : « Tu n’as pas le droit de manquer de respect à ton équipe et aux personnes qui sont venues vous encourager ».
Le petit : « Je m’en fous ».
Raoul : « Tu ne peux pas dire çà, maintenant ferme les yeux ».
Raoul pose la main sur l’épaule du petit et l’emmène dans son souvenir.
Effet flouté pour enlever l’image actuelle et amener le souvenir de Raoul au stade de la Méditerranée.
Ils avancent dans le couloir (sortie des vestiaires vers le stade), ils arrivent sur la pelouse, c’est vide, les tribunes sont vides, il n’y a pas de lumière.
Avant d’arriver sur le stade, le couloir est tapissé d’images d’archives, de trophées, de chaussures, du début de l’ASB, chronologiquement jusqu’à nos jours. Les deux personnages avancent sur le terrain (au milieu), et là se trouve un bouclier. Les deux personnages se regardent dans les yeux (zoom sur eux. Le vieux monsieur explique au gamin ce que ça apporte de gagner le bouclier, la fierté que çà apporte aux joueurs.
Gros plan sur les deux personnages, un échange de regard. On va aux vestiaires, l’entraineur motive ses joueurs, la pression monte, les deux personnages sont là mais ne sont pas acteurs.
Un autre plan avec des joueurs costauds de l’ASB (4 ou 5) sur le banc de touche, et à côté, nos deux personnages regardent le match avec beaucoup d’admiration.
Aller aux archives de l’ASB, afin de trouver des films d’époque pour voir les combinaisons, tactiques.
On reboucle sur les mêmes combinaisons mais avec des joueurs de maintenant. En 100 ans, les techniques sont restées les mêmes.
Faire plusieurs montages avec les films d’époque et les films