Ma mère m'a appris à respecter les gens,
A rester polie, à dire merci et répondre gentiment,
Mais elle m’a aussi enseignée que de tous temps,
Par la justice il faut punir les méchants, les truands.
Dans ton cas je ne te traiterais ni avec respect et encore moins politesse,
Car comment pourrais-je le faire après ce que t’as fait ?
Apprends à la considérer et lui parler avec délicatesse,
Et tu comprendras que l’amour c’est bien plus qu’une histoire de fesses.

J'en ai connu des infidèles, des loosers, des menteurs,
Mais il faut dire que jurer dans les yeux d'une princesse,
Que tu l’aimeras, la chériras, la combleras de tendresse,
Et la jeter pour te barrer retour à la case départ avec ton ex,
Est la preuve de la pauvreté de ton cœur.

Msieur’ c’est ma déesse, ma moitié, la femme de ma vie,
Je sais pas comment t’as fait pour paraître aussi sincère,
Peut être que tout simplement parce que moi en face d’un père,
Je ne pourrai jamais mentir en gardant le sourire au bout des lèvres.

« Je t’aime », tu es ma vie ma chérie,
Toutes ces nuits qu’elle passe à t’écouter,
Elle, à qui on a enseigné le respect sans la rancœur,
Toi, bouffé par ton orgueil,
Tu ne sais même pas voir quand elle pleure en silence
Affichant un sourire pour cacher ce malaise qui la blesses,
Tu la délaisse et la rabaisse chaque fois que tu cognes sur son cœur.

et si je finis comme ça?
Quand tu lui dis Puta,
Ton cerveau chaque fois se fait plus petit,
Egoïste, abrutit, mes textes sont soignés,
Parler de toi plus encore serait les souiller ;
Ouvres un ptit’ Larousse et regarde à la page 757
Oui « aimer » c’est drôle, un mot que tu ne connaissais pas,
Et quelque chose que tu as loupé et que tu ne connaîtras