L'intimidation la réparation katia gagnon
Geneviève Maranda Français, 304
La réparation Suite à la lecture d’un livre sur l’intimidation et la maltraitance, j’ai pu tout de suite remarquer le message d’espoir qui se glisse entre les lignes du roman. Je vais le démontrer à travers différents aspects. L’histoire de Marie-Lune Provencher évoque sans aucun doute l’espoir. Marie-Lune, alias Marie Dumais, a vécu son enfance dans un environnement défavorable pour sa croissance. La DPJ l’a alors prise sous son aile. Marie était très renfermée sur elle-même et anxieuse, y étant obligée pendant cinq ans. Peu à peu, elle a progressé et s’est attachée émotionnellement aux gens. Elle a alors fait des progrès phénoménaux et a rattrapé ses retards moteurs. Elle a été adoptée par une famille qui l’encadrera tout au long de sa vie. On peut tout de même sentir qu’elle n’a jamais laissé aller les peines qu’elle a subites au début de sa vie. En acceptant le cas de Sarah Michaud, elle a ouvert sa propre boîte de Pandore. Sarah, quant à elle, provenait d’une famille qui ne l’aimait pas et n’avait pas d’amis proches. Au début de son adolescence, elle a subit de l’intimidation. Elle n’avait pas beaucoup de confiance en soi, mais elle était habituée au rejet, donc elle à tout encaissé sans rien dire. Après une intervention auprès des agresseurs, ça a arrêté. Seulement pour revenir en force quelques mois plus tard. Victime d’abus sexuel, elle c’est suicidée la semaine suivante. Le fardeau était devenu trop lourd. Marie Dumais médiatisa l’affaire de façon crue pour faire réagir la population, tout en respectant l’entourage de l’adolescente. On sent qu’elle pouvait s’identifier aux souffrances de Sarah. Elle a même fait avancer la mère de Sarah dans son deuil en lui faisant réaliser son inaction.