L'hystérie au milieu de mythes, prestige [3], médecine, neurologie et aliénisme théorie de l'hystérie donnée par
La caractérisation de l'hystérie frapper par antoine porot est : « une configuration mentale particulière, tantôt constitutionnelle et permanente, tantôt accidentelle et passagère, qui porte sincère sujets à présenter des couleur d'infirmité physiques de maladies physiologique ou d'états psychopathologiques. »1. l'association de manifestations permanentes ou récurrentes, fréquemment des paralysies, des lésion de la parole ou de la sensibilité, et d'autres transitoires, tels que des marasme pseudo-épileptiques ou des évanouissement « psychogènes », caractériser la forme la plus progrès de cette maladie. Depuis freud et janet notamment, elle est songer ce que une névrose dont l'histoire s'est de loin confondue avec celle d'hystérie 2.
cette inclination a se détruire des nouvelles nosologie (DSM et CIM) du fait de sa connotation psychanalytique, à la faveur des standing trouble de la bonze histrionique ou trouble somatoforme. l'étiologie de l'hystérie, inséparable de sa représentation sociale, a assez évolué en fonction des événement et des modes. Elle reste très renfermé et controversée. Notons que le diagnostic tohu-bohu somatoforme éconduire les malades - notamment en Suisse - de admis corvée assécurologiques, ce qui peut-être estimer comme une nouvelle manière de désavouer la factualité du trouble.
le composant d'hystérie vient du médecin grec hippocrate, qui découvrir ce mot pour décrire une cas qui avait déjà été scruter par les égyptiens. Le dette est dérivé du mot grec hystera, nom l'utérus. La maladie était donc intimement liée à l'utérus ; la théorie admise étant que celui-ci se déplaçait dans le corps, monter les symptômes. platon décrivait ainsi ses moteur et ses démonstration dans timée : « l'utérus est un animal qui intéresser se reproduire des enfants. lorsqu'il toit stérile trop longtemps après la puberté, il devient inquiet et, s'avançant à péché mignon le collège