L'expansion de l'économie
La dimension interculturelle des marchés
A la fin du 19e, l’économie internationale prend un nouvel essor par l’intensification des marchés, des communications, des phénomènes migratoires. Cette évolution s’accompagne d’une mécanisation et d’une industrialisation dont l’idée majeure sera ce que l’on appelle : le productivisme. Le monde ouvrier issue d’entreprise semi familiale va connaitre une progression constante dans le domaine du rendement ainsi que par un nouveau système de travail lier à la notion de taylorisme. L’ensemble des sociétés vont croitre rapidement afin d’inonder des secteurs nouveaux tant au niveau industriel que chimique. Des 1910, production en chaine va se développer au détriment de l’artisanat. Ainsi va se créer un corolaire concomitamment avec une notion de consommation et de besoin. Il faut donc produire pour vendre, dans cette optique l’économie, dites « internationale » va prendre tout son effet. Pour accroitre sa demande, l’Europe et l’Amérique va devoir développer son économie afin de trouver de nouveaux débouchés, des empires coloniaux y vont y jouer un grand rôle mais au delà de ce fait il vont permettre une interaction entre circuit de production, d’échange, de consommation ; ainsi vont se créer des succursales et des filiales progressivement à travers le monde. L’intensité des échanges va créer un besoin de communication, celle-ci va se développer parallèlement avec l’évolution technologique. Cette évolution technologique va accroitre les échanges mais aussi les informations, l’entreprise n’est plus isolé, elle va devenir mondiale. A ce titre, les échanges répétés et constant vont se développer différemment d’un point continental à un autre. La communication va devenir l’essence même des activités économique, les échanges au départ intra-pays vont devenir frontaliers, de frontaliers vont devenir transfrontaliers pour devenir