L'alcoolisme
Il explique l'historique de l'alcoolisme qui à partir du 19ième siècle sera considéré comme une maladie et développe une large partie sur les hommes et les femmes. Il utilise les données de l'Institut National de Prévention et d'Éducation pour la Santé (INPES) pour montrer que plus de 7% des femmes déclarent consommer régulièrement de l'alcool avec près de deux verres par jour. Dans son ouvrage, l'auteur explicite les effets de l'alcool sur les femmes qui dès 50 ans ont davantage de possibilité d'augmenter leur tension artérielle lorsqu’elles sont alcoolo- dépendantes ; ont un risque de cirrhose et de divers cancers plus prononcés. Nombres d'éléments entrent en compte dans l'alcoolisme chez la femme notamment l'origine ethnique et les capacités physiques. L'auteur y rappel les raisons principales de consommations d'alcool comme les relations extra-conjugale et le stress au travail. Les femmes s'enivrent fréquemment de façon solitaire en raison du sentiment de culpabilité.
La suivante partie décrit la créativé liée à l'alcool. Il s'agit pour les alcooliques des phénomènes d'euphories, d'augmentation de la confiance de soi et d'amplification des émotions. L'effet est souvent plus prolongé que les autres dépendances types cannabis.
"L'alcoolisme est héréditaire" est un point traité par Laurent Karila où il confirme les risques d'intoxication alcoolique des enfants de parents alcoolques. Aucune gène n'est spécifique à la maladie de l'alcool, seuls le contexte environnemental peut rentrer en compte dans la croissance