The man who can see:

Nunez est tombé en amour de Medina-sarote. Avant d’accepter leur mariage, le père de Medina-sarote, Yacob, veut que Nunez soit examiné par un médecin aveugle.

"Son cerveaux est affecté," a dit le médecin aveugle.
"Alors, qu'est-ce qu'il l'affecte?"
"Ces choses bizarres qui s’appellent les yeux, et qui existent pour créer une dépression agréable sur le visage, sont malade, dans le cas de Nunez, d’une façon qui affecte son cerveaux. ils sont gonflés, il a des cils, et ses paupières bougent, et par conséquence son cerveaux est dans un état constant d'irritation et de distraction."
"Oui?" a dit le vieux Yacob. "Oui?"
"Et je pense que je peux annoncer avec une certitude raisonnable que, pour le guérir complètement, tout ce qu'on doit faire est une opération chirurgical simple et facile - à savoir, pour enlever ces corps irritants."
"Et alors il sera sain d'esprit?"
"Alors il sera parfaitement sain d'esprit, et un citoyen assez admirable."
" Dieu merci pour la science!" a dit le vieux Yacob, et s'est dépêché pour aller raconter à Nunez ses beaux espoirs.
Mais la manière dont Nunez a reçu la bonne nouvelle l'a frappé d'une façon froide et décevante.
" On peut penser" il a dit, "du ton que tu prends que tu n'avais pas d'affection pour ma fille."
C'était Medina-sarote qui a persuadé Nunez d'affronter le médecin aveugle.
"Tu ne veux pas" il a dit "que je perds ma capacité de vue? Mon monde est la vue."
Sa tête est penchée plus basse.
"Il y a les choses belles, les petites belles choses - les fleurs, le ciel lointain avec ses nuages, le coucher de soleil et les étoiles. Et il y a toi. Pour toi seul, c'est bien d'avoir la vue, ton visage adorable et serein, tes lèvres aimables, tes chères, magnifiques mains..."
"Je souhaite des fois ... que tu ne parles pas comme ça. Je sais que c'est beau...c'est ton imagination. Je l'aime, mais.."
Il avait froid. " Tu veux dire que... Tu penses ... Je suis mieux, mieux sans doutes..."
Il s'est