Helena Et Gwenaelle
29 juillet.
C'était une journée banale, un samedi comme les autres, enfin presque. Mon travail d'estéticienne me devenait insupportable, j'avais donc besoin de repos. J'ai passé mon après-midi à la piscine de Tavaux, pensant que ça allait me changer les idées. Lorsque je suis arrivée, je suis allée me changer dans une cabine, recouvrant mon corps avec ma serviette. Une fois sortie, je me suis dirigée vers un coin d'herbe, mais en chemin, j'ai ressentie une sensation étrange, quelque chose de puissant, une sensation que je n'avais jamais ressentis auparavant...
1er août.
J'en ai marre ! J'ai mal ! Cette sensation affreuse que j'avais ressentie à la piscine, il y a trois jours se reproduit tous les deux heures. Mes poils se hérissent jusqu'à en venir à me paralyser, je ressens une sorte d'appréhension, le sentiment que des influences mystérieuses m'oppressent.
Cette inquiétude, cette peur constante me hante, et cela devient menaçant. Pourquoi moi et pas les autres ? Une fille comme moi ne mérite pas ça.
2août.
Je n'ai pas dormi de la nuit, mes poils me font terriblement mal, c'est de plus en plus pire (On ne peut pas être « plus » pire. Remplacez par un adjectif : affreux, atroce, etc.), je ne veux plus sortir de chez moi, je ne veux plus rien faire... 20 août.
C'est horrible, je ne veux plus regarder mon reflet dans le miroir. Tous ces poils d'environ deux centimètre recouvrent tous mon corps. Cela devient un gros complexe et me fait faire des terribles crises. Un exemple de crise ?
22 août.
Depuis deux jours, je passe mon temps à me raser, je n’arrive même pas à dormir. Mais appart tous ce mal qui me hante, j'ai appris une bonne nouvelle, j'ai reçu un appel de mon amie Lise, et sa me tenait à cœur de lui parler de mon complexe, et elle m’a clairement dit qu’elle connaissait un médecin qui soignait ce genre de choses. Faire plusieurs phrases !
23août.
Cette après-midi, je pars avec Lise rencontrer ce fameux médecin, j’écrirais comment cela,