À mon avis, la morale prétend qu’il vaut mieux subir l’injustice que de la commettre. La principale question est s’il est moral de subir plutôt que d’agir, car si faire souffrir autrui est contre la moral, alors sommes-nous différents des autres? On peut aussi se demander s’il est moral de subir ce qui n’est pas moral. En raison de ces questionnements, je pense personnellement qu’il vaut mieux commettre une injuste que de la subir dans un contexte où il ya choix entre ces deux actes. De plus, on peut tout se questionner si la véritable morale serait de se rebeller contre ce qui est n’est pas éthique même si l’on est l’individu qui subit une injustice, car sinon cette morale qui est appliquer sur autrui, serait en effet, de l’injustice.
D’une part, commettre une injustice serait volontaire et bénéfique à la personne qui la commise. Cependant, une question de remords et de conscience de soi se ferait entendre. De plus, lorsqu’une injustice est commise, l’individu devient victime étant donné qu’elle subit un méfait qui peut-être physique, moral, etc. On pourrait exemplifier ce fait à l’aide du principe du droit de légitime défense d’une personne. Enlever la vie à quelqu’un, donc commettre une injustice, peut sembler un acte injuste et égoïste, mais selon moi, il vaut mieux enlever la vie à quelqu’un d’autre que soi que de perdre la sienne. La victime de cet acte se voit désavantagée par l’injustice commise. Donc, vaut mieux infliger l’injustice afin de subir des désavantages sur nous-mêmes.
Aussi, la personne qui commet l’injustice, dans la plupart des cas, réussit à en retirer une satisfaction personnelle au désavantage de la victime. Comme dans mon exemple mentionné plus haut, l’individu qui a enlevé la vie à autrui subit des désavantages provenant de la société, mais d’un autre sens, le bourreau a encore sa vie, même s’il s’agit d’égoïsme et d’injustice. Donc, en effet, je suis d’accord pour dire qu’il vaut mieux commettre une injustice que de la subir.
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