Nous nous sommes rendu compte, avec diverses recherches, que le pouvoir d’achat ainsi que les emplois et le chômage sont assez instables. En effet, au premier semestre en 2009, ce ne sont que les jeunes qui ont été concernés : le chômage est en hausse de 3.4 points pour les hommes et de 1.3 points pour les femmes. Cependant le pouvoir d’achat est resté stable. Durant l’année 2009, la consommation des ménages ont augmenté de 0.9%. Cette hausse s’exprime par l’augmentation d’achats automobiles, soutenue par la prime à la casse. Cependant nous avons pu constater que la perte des emplois salariés était plus importante que leur création : durant 2009, 412 000 emplois ont été détruit en France. En début 2010, la situation s’est améliorée puisque 106 000 créations nettes d’emplois ont été enregistrées. Néanmoins, il s’agit surtout d’emplois intérimaires. C’est en février 2010 que le pouvoir d’achat a diminué, certains ménages ne peuvent mêmes plus subvenir aux demandes des sociétés nationales telles que EDF ou GDF. Les classes moyennes inférieures souffrent incontestablement d’un malaise résidentiel. De plus, il y a une augmentation importante du chômage avec un taux de licenciement massif depuis 2009 : il y a plus de 4 000 000 de chômeurs inscrits à Pôle emploi, soit 800 000 de plus qu’en 2008. Par ailleurs, le nombre de demandeurs d’emplois a augmenté de près de 30% en une année : environ 1 650 000 demandes