Etude Travail Au Noir
INTRODUCTION :
Le thème de cette étude se rattache au deuxième thème du programme de première, qui n’est autre que « Les relations sociales dans les organisations : le déroulement de carrière ».
J’effectue cette étude durant la deuxième période de l’année scolaire 2013 2014.
Dans une première partie nous évoquerons les avantages et inconvénients de cette pratique de travail puis dans une seconde partie nous nous attarderons sur les risques concourus par les entreprises et les salariés qui exercent cette pratique.
En conclusion j’indiquerais mon propre point de vue sur le travail au noir.
DEVELOPPEMENT :
Tout d’abord, avant de nous attaquer au sujet du travail au noir, nous allons définir cette pratique pour mettre au clair ce qu’il en est vraiment.
Le réel nom de cette pratique est « Le travail dissimulé », qui est populairement appelé « Le travail au noir » ou encore « Au black ».
C’est un terme utilisé pour définir le fait de ne pas déclarer du travail de son activité.
Afin de se faire embaucher au travail au noir, il n’y a pas vraiment de formalités. Les deux personnes se rencontrent et décident de payer/se faire payer en espèces et sans déclaration de travail.
Bien entendu, il y aura certains avantages à bénéficier en tant que travailleur au noir qu’en tant que travail déclaré nous n’aurons pas. Comme par exemple les impôts. Un travail au noir, n’étant pas déclaré, ne donnera aucune informations à l’État concernant ses activités, et donc ne pourra pas être imposable sur du revenu. De plus, le patron non plus n’aura pas les charges patronales à supporter, car nous le savons, le salaire d’un salarié en entreprise coûte quasiment le double à son employeur. Les deux parties sont alors satisfaites de leur statut.
N’oublions pas de préciser qu’un salaire de travailleur au noir sera généralement plus élevé qu’un SMIC. Ceci ajouté aux indemnités du chômage s’ils ont lieu, peut vite atteindre de belles sommes.