Jean-Baptiste Poquelin, dit Molière, a marqué l’histoire du théâtre et de la comédie française. Fils d’un tapissier, il a renoncé à l’affaire familiale pour se trouver vers le théâtre et fonde en 1643 une troupe qui se nomme « l’illustre Théâtre » Molière s’est distingué par des pièces qui mêlent le comique, le pathétique et la critique. Il faisait du rire une arme pour combattre les mœurs et les contraintes de son époque. Au rang du plus grand artiste de l’époque, il écrit des ouvrages qui ont de grands succès à son époque et L’école des femmes en fait partie. Cette comédie écrite en cinq actes et en vers raconte que Arnolphe à envoyé une jeune fille qui se nomme Agnès dans un couvent dès son jeune âge pour pouvoir l’épouser plus tard mais celle-ci tombe amoureuse d’Horace qui est le fils d’un ami d’Arnolphe. Nous sommes à l’acte III lorsque ce dernier annonce à Agnès qu’il est son futur époux. La scène 2 est une tirade d’Arnolphe qui s’étale sur une page recto-verso et celui-ci s’adresse à Agnès. Grâce à cette tirade, nous pouvons nous demander comment Molière critique la vision de la femme dans le mariage lors de la tirade de l’acte III scène 2. Dans un premier temps nous allons étudier
4. En quoi réside le ridicule du personnage dans cette tirade ?
[G]Ma réponse :[G] La scène 2 de l'acte III est un moment dramatique et comique où Arnolphe, héro encore tremblant devant le cocuage (v. 724-725), assume éloquement et avec confiance la démesure ridicule d'une idéologie de mépris, de vanité, de simplisme.
Il convient de dire pourquoi Arnolphe croit que cette attitude est juste et naturelle.
Platon a déjà parlé de deux moitiés.
Des moitiés inégales n'est pas très mathématique! Qu'en aurait dit Descartes?
Il me semble que, si Arnolphe a des points de vue sur le mariage, l'objet de son discours est d'établir des règles pour sonmariage. Finalement, ne parle-t-il pas plus sur le regard qu'il porte sur la femme que sur le mariage proprement dit?