Therese raquin analyse
Le chat le regardait avec de gros yeux ronds d’une fixité diabolique.· Si : proposition subordonnée relative : ce n’est pas la première fois qu’il veut le faire· Gros yeux ronds : sur dimension : introduit le regard· Point de vue de Laurent· Fixité diabolique : complicité du diable. Introduit la folie de Laurent· Le chat : témoin du meurtre PH 3C’étaient ces yeux, toujours ouverts sur lui, qui exaspéraient le jeune homme ; il se demandait ce que lui voulaient ces yeux qui ne le quittaient pas ; il finissait par avoir de véritables épouvantes, s’imaginant des choses absurdes.· C’étaient ces yeux : insistance· Toujours : insistance· Allitération en s : intensifie l’exaspération, hallucination· Passage au discours indirect employé qui permet de rentrer dans les personnages· Véritables épouvantes : peurs extrêmes : il ne pense plus de façon logique· Expression hyperbolique : décuple la force des épouvantes· Désespéraient : il n’en peut plus· Ce qu’il …afficher plus de contenu…
parle donc, dis-moi enfin ce que tu me veux. »· Lorsqu’à table : habitude : le chat s’incruste partout· A n’importe quel moment : toujours· Querelles/silences : 2 antonymes : le chat est là à n’importe quel moment ; montre l’atmosphère de la maison· Il venait : circonstance atténuante· Regard de François : personnification du chat· Qui l’examinait : fixité du regard· Implacable : désigne la justice· Il pâlissait : marque la peur, rappelle le visage pale de Thérèse· Il perdait la tête : expression employée pour désigner la folie de Laurent· Passage au discours direct : point de vue interne : Laurent est prêt à exploser· Utilisation de l’impératif, emploi du verbe parler : montre la folie de Laurent· Enfin : montre