400 Coups
Le film a eut un grand succès dans la ville de Paris. Pas étonnant puisque Paris est le décor principale du film. Pour François Truffeau, rendre hommage à cette ville était un point capitale pour le film. Les grands ensembles, comme dans la scène du cours de sport, la course à travers la ville, et les longs travelings du générique le prouvent. De plus, le monument le plus important de la capitale, la Tour Eiffel, est quasi omniprésente mais jamais vraiment là, comme la famille d'Antoine. Et quand celle ci se retrouve pour une soirée cinéma, même le film est consacré à Paris. C'est grâce à ce décor que ce jeune homme à pu développé ces côté de délinquant et réalisé les fameux 400 coups. On peut donc en déduire que Paris est un des coupables de l'arrestation d'Antoine à la fin du film. Dans ces scènes, la campagne oppose le début de l'histoire, tournée dans la ville. Tous ces décors restent réels et renforcent le fait que ce film fasse partie du mouvement cinématographique, la Nouvelle Vague.
Les 400 coups est de loin un film réaliste autobiographique, voir biographique. Il énonce une tranche de la vie du jeune Antoine, semblable à celle du réalisateur, François Truffaut : une vie difficile et poignante. La pitié se fait entendre dans ce long métrage : le manque de communication entre les parents et l'enfant, le manque d'affection de la mère, le lit du jeune garçon à l'entrée, l'enfant rejeté par la famille, par l'école. On peut alors catégoriser ce film dans le genre dramatique. Antoine est obligé de rendre visite à une psychologue. Lors de cette séance, la psychologue n'est pas filmée, juste sa voix et ses questions sont perceptibles. Le jeune Antoine, assis en face, a du mal à trouver ses mots. Un dialogue non répété à l'avance est alors échanger entre les deux personnages. On remarque un aspect de documentaire avec cette vision d'interview improvisé.
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