TEFE infirmier
3ème année 2012-2013
Penser pour panser
L’infirmière est-elle autonome dans le traitement des plaies chroniques ou doit-elle s’inscrire dans un travail en collaboration médicale ?
Jean-Sébastien CLAUDE
Rendu le mercredi 05 juin 2013
Formateur référent : Monsieur Laurent GENTIL - Cadre de santé formateur
Note aux lecteurs :
« Il s’agit d’un travail personnel qui ne peut faire l’objet d’une publication en tout ou partie sans l’accord de son auteur. »
Je tiens à remercier mon père Guy et à ma défunte mère, Thérèse qui m’aident dans tous les moments difficiles, sans oublier ma compagne.
Ainsi qu’à l’ensemble des personnes qui m’ont aidé lors de la réalisation de mon mémoire, en particulier Angélique HENNEQUIN pour sa patience.
Je remercie également tout le personnel avec qui j’ai pu échanger sur le thème des plaies chroniques.
Table des matières
Introduction :
Ce travail de recherche s’inscrit dans le cadre de notre formation au sein des UE 3.4 S6 -Initiation à la recherche- et 5.6 S6 -Analyse de la qualité et traitement de données scientifiques-. Mon travail a bousculé mes croyances. Cette interpellation m'a permis de démarrer cette recherche non plus comme un exercice théorique imposé mais comme un travail de recherche autour d'un sujet, qui me parait à la fois fondamental et énigmatique, mais également sujet de santé publique, car en 2010, les plaies chroniques touchaient environ 2,5 millions de personnes en France. De plus « la prévention des escarres fait partie d'une démarche de qualité par la Haute Autorité en Santé (HAS). Celle-ci utilise les enquêtes de prévalence d'escarre (nombre de cas de maladies présents à un moment donné dans une population) comme un marqueur de qualité et un critère de certification »1.
Lors de mes différents stages, j’ai pu aborder régulièrement la question de la prise en charge des plaies chroniques. Mon questionnement s’est basé sur