También la lluvia
Même la pluie
C’est l’histoire d’une équipe de tournage qui s’installe en Bolivie, pour filmer un film sur l’histoire des conquistadors espagnols. Ils sont vite confrontés à une révolte de la population pour la guerre de l’eau. En effet, une entreprise implantée sur place veut privatiser l’eau potable du peuple.
Au début du film on peut observer la misère dans lequel vit ce peuple pauvre. Tous viennent tenter leur chance en tant que figurant pour gagner la misérable solde de 2 dollars américains par jour. Alors qu’à côté de ça, les multinationales veulent privatiser l’eau pour s’enrichir d’avantage. En réponse un certain Daniel, figurant dans le film, va mener une rébellion. Tout un peuple va se lever pour garder l’accès à l’eau potable, pour garde l’accès à « la vie ». Ce conflit social entre « les pauvres » et les multinationales va permettre d’ouvrir l’esprit aux personnages. Costa et Sebastian se trouvent malgré eux emportés dans cette lutte pour la survie d'un peuple démuni. Ils devront choisir entre soutenir la cause de la population et la poursuite de leur propre entreprise sur laquelle ils ont tout misé. Cette rébellion va diviser l’équipe de tournage, en deux parties. Le producteur et le réalisateur, Costa et Sebastian contre le reste de l’équipe de tournage. Ils voient ce conflit d’un œil différent. Sebastian et Costa veulent avant tout comprendre et aider ces personnes, ces familles, ce peuple …
Finalement peut-être David contre Goliath, les petits contre les grands, un lutte inégale et pourtant, ce petit peuple à renverser cette puissance et a contraint la multinationale à abandonner. Comme le dicton du film : « Pour changer le monde commence par changer soi même »
La guerre de l’eau à Cochabamba en Bolivie
Cochabamba est la troisième ville de Bolivie. Elle est située au centre du pays. Au début de l’année 2000, cette ville a fait la une de l’actualité internationale suite aux manifestations populaires contre la privatisation