Synthèse de " pas d’organisation virtuelle sans confiance "

La gestion et l’organisation sont des bases inhérentes à toutes structures. C. HANDY dans son article " pas d’organisation virtuelle sans confiance " développe les points qui apparaissent comme majeurs pour passer d’un système empirique à une élaboration moderne du fonctionnement d’une structure. La confiance, l’information, les objectifs et la compréhension sont des principes que le dirigeant devra intégrer avec un contrôle adéquat sur les actions de ses collaborateurs. Comment sortir du passé en conservant ce qui est nécessaire à l’homme. Il est certain que le changement, dans l’organisation d’une structure, porte sur l’adhésion et l’appartenance qui elles-mêmes influent sur la performance et l’efficacité. Cela dépendra de la confiance accordée par les dirigeants.
Diriger à distance un projet implique de la confiance envers ses collaborateurs. Dès lors, l’information nécessaire à la communication devient la matière première du travail et permet de ne pas avoir à se regrouper en des lieux physiques.
Le sens des objectifs déterminés devient alors capital, toutefois il ne faut pas omettre l’importance de la compréhension du travail de ses collaborateurs.
Quand une structure ou une unité place la confiance comme élément dans son organisation, le contrôle des actions de ses collaborateurs doit être déterminé pour ne pas laisser de place au doute des collaborateurs sur la confiance qui leur est accordée. Cette confiance doit donc être définie avec un début et une fin selon les limites du cadre imparti à leur unité.
Même stable une unité doit être souple et flexible pour pouvoir s’adapter et assumer tout changement lié à des circonstances d’évolution. Pour ce faire la formation ou l’apprentissage de qualités personnelles doit être inscrite dans les motivations des collaborateurs. Ces motivations pourront être perçues comme éléments de choix lors d’un recrutement. A l’inverse l’archaïque principe d’immobilité