Stupeur et tremblements
Stupeur et tremblements d’Amélie Nothomb
Le livre « Stupeur et tremblements » d’Amélie Nothomb est un récit de vie de type autobiographie qui raconte l’expérience professionnelle d’une jeune femme travaillant au Japon dans le département import-export d’une grande firme.
Amélie est une jeune femme belge qui a toujours voulu travailler au Japon où elle est née et elle a de très bons souvenirs de sa jeunesse. Après avoir appris le japonais, elle est engagée dans une firme de Tokyo nommée Yumimoto. Elle commence comme employée au service comptabilité. Petit à petit, ses supérieurs la font baisser de grade car elle n’a soi-disant pas les compétences nécessaires même si elle a un diplôme d’enseignante. Malgré ses efforts, on la rétrograde quand même jusqu'à l’échelon le plus bas et le plus humiliant de tous. Mais quelle fonction lui attribue-t-on?
A mon avis, « Stupeur et tremblement » mérite d’être lu car on apprend plusieurs choses sur la vie dans une firme japonaise. Par exemple, les femmes japonaises ne peuvent pas avoir des grades importants dans la société et si jamais elles y arrivent, c’est après de longues années d’humiliation comme Fubuki, la supérieure d’Amélie. On apprend aussi que d’après certains japonais, les cerveaux occidentaux sont moins intelligents. Les supérieurs d’Amélie le lui disent plusieurs fois.
A plusieurs reprise, je me suis demandé pourquoi elle n’allait pas trouver monsieur Haneda, le directeur de Yumimoto, pour lui demander de changer de service et d’aller dans celui de monsieur Tenshi pour qui elle avait fait un magnifique rapport sur les beures allégés que consommaient les belges. Au Japon, ne peut pas aller se plaindre de son supérieur au directeur.
J’ai aussi trouvé cela étrange que monsieur Omoshi l’oblige à manger du chocolat