Semper eadem n°111Signifie « toujours la même », Toujours la même peut -être toujours la même vie, même tristesse, mélancolie. Ça peut être l’idée qu’il y est toujours la même incompréhension. La première phrase est entre guillemet car c’est la femme qui parle et qui répète, c’est une phrase qui revient régulièrement. Elle l’interroge sur sa tristesse, sa mélancolie et visiblement qu’elle ne peut pas la comprendre, on le voit avec le fait qu’elle utilise une comparaison ,on voit qu’elle est incapable …afficher plus de contenu…

C’est la mélancolie qui le submerge. Le tiret est presque une réponse, c’est la rupture entre sa parole à elle et sa parole mais ça introduit une réponse. L’expression une fois et le passé composé renvoie à qu’il ne peut pas la faire une deuxième fois et que s’est accompli, c’est le passé, cette vendange est dans le domaine de l’amour, l’idée qu’on aime vraiment qu’une fois, c’est l’idée que le cœur a déjà connu de belles promesses mais qu’il a été déçu que c’est fini. « vivre est un mal » est en position de rejet. On pourrait le comprendre comme vivre est une souffrance, vivre est une erreur… C’est quelque chose de très fort. L’idée de la vendange c’est l’idée de la …afficher plus de contenu…

« cessez donc ... » il utilise des impératifs, c’est plutôt d’abord un conseil puis après un ordre « taisez vous ». Il y a une rime riche « rieuse » au moment de parler de sa joie, on voit bien qu’elle passe son temps à rire. Ça créé un écho. Aussi « rire » au vers 10. Il y a une anadiplose. On termine la phrase par taisez vous et on l’ouvre par le même terme. « ignorant » ça renvoie au fait qu’elle ai besoin de chercher ce que tout le monde sait. « âme toujours ravie » fait écho à son caractère joyeux. Il y a presque un double sens sur ravi qui est le coté joyeux mais c’est aussi ravi occupé à autre chose. « bouche au rire enfantin » renvoie à rieuse « enfantin » à l’ignorance. Il y a une antithèse qui associe la Mort et la