VOLTAIRE, le Mondain (1736)

Plan :
1° La vision du bonheur pour Voltaire.
2° L’âge de fer face à l’âge d’or

Ce texte est un poème satirique qui critique l’âge d’or et de fer tout en montrant la vision de Voltaire sur le bonheur

1° Tout d’abord voltaire a une vision matériel sur le bonheur comme par exemple le luxe et le superflue « Le superflu, chose très nécessaire,» il y a aussi le champ lexical du luxe et du superflu : « le luxe ; superflue ; l’ornement ; l’abondance… ». De plus Voltaire insiste en montrant que les personnes d’entant vivait dans l’ignorance car il n’y avait pas de possession terrestre « Nos bons aïeux vivaient dans l’ignorance, Ne connaissant ni le tien ni le mien.»
Enfin il y a la ponctuation, les exclamations du vers 21 « Oh ! Le bon temps que ce siècle de fer ! » semble montrer une idée de cri de joie et de satisfaction. Mais aussi l’auteur joue sur la ponctuation afin de donner de la vie au texte comme par exemple au vers 33 « qu’auraient-ils pu connaître ? Ils n’avaient rien ;» ici la ponctuation renforce la thèse de Voltaire sur le bonheur.

En conclusion ce poème argumentatif cherche à mettre en avant la vision de voltaire sur le bonheur qui est la possession matériel et terrestre. Mais il y a aussi dans ce texte la confrontation entre l’âge de fer qui est celle de Voltaire contre l’âge d’or qui est celle que défend la religion à cette époque.

2° Tout d’abord Voltaire se moque de l’âge d’or et est ironique au début du poème, Voltaire dit que ceux qui vivait à l’époque d’entant étaient des ignorants, qu’ils ne pouvaient profiter des biens matériels ou encore des plaisirs car ils étaient persuadé que la foi leur suffisaient.
Voltaire dit alors que ceux-ci n’avaient enfin de compte rien et qu’ils ne pouvaient être heureux « qu’auraient-ils pu connaitre? Ils n’avaient rien; » De plus Voltaire décrit l’âge de fer comme l’inverse. Que c’est une époque de luxe, une époque de plaisirs, mais aussi une époque avec du progrès