Savoir faire
La question posée ici tente de nous interroger sur le savoir et le savoir faire. Il est alors supposé que ces deux thermes sont différents : on se questionne alors sur les différences entre ceux-ci, ceux qui peuvent les rapprocher et les éloigner. Le savoir faire apparait donc comme un fait, une action que l’on produit sur quelque chose, un mouvement volontaire de l’homme nécessitant la technique. Le savoir apparait lui comme une pensée, une réflexion sur quelque chose, un savoir acquis grâce a un apprentissage.
Le « peut » ici nous interroge sur la possibilité d’un savoir faire sans savoir, et nous poussent à nous questionner sur les limites du savoir faire.
Le savoir apparait d’une part comme l’ensemble des connaissances acquises par un apprentissage pratique ou une expérience et d’autre part comme un savoir, l’apprentissage de quelque chose que l’on peut donc dire, connaître… Il y a une opposition entre deux thermes paraissant proches, mais différent par l’interprétation de leurs sens. Le mot « sans » exprime l’absence, l’exclusion d’un thermes donné. Le savoir est, en général, défini comme un ensemble de connaissances ou d'aptitudes, acquises par l'étude ou l’expérience.
Le savoir-faire lui, est la connaissance des moyens qui permettent d’accomplir une tâche. Le savoir-faire est différent des autres savoirs car il peut être directement appliqué à une tâche définie. Le savoir-faire est différent de la connaissance, puisqu’il est un savoir intuitif du a la répétition d’une action qui en fait une action irréfléchie.
Le savoir faire est-il alors différent du savoir ? L’apprentissage de la technique ne serait pas nécessaire afin de l’acquérir, se serait donc l’expérience qui primerai, le fait de ne pas penser avec l’esprit mais avec les mains. La connaissance précède elle l’expérience ? Est-ce apprendre puis exécuter ou exécuter en apprenant ?
Comment le savoir-faire technique compense le savoir ?
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