Pour ce dernier travail qui se veut une réflexion sur la performance et la « transposabilité » des modèles étudiés ou des approches en GRH, j’ai choisi d’exposer certains éléments de cette problématique liée à la transposabilité d’une approche ou d’un modèle de GRH à l’environnement dans lequel je travaille à l’heure .

La culture organisationnelle de l’entreprise qui m’occupe se définit comme un ensemble complexe de valeurs et de croyances qui déterminent notre manière d’agir. Nos valeurs fondamentales se rapportent principalement aux services éducatifs, à notre conduite envers les personnes, à la qualité de nos services, à la capacité d’innover, à l’honnêteté, à la loyauté, à la compétence, à la confiance et à la quête de la réussite éducative de nos élèves. Du point de vue du contexte économique, mon organisation ne parle pas de chiffres de ventes de produits ou de service mais plutôt de pourcentage de réussite scolaire. Du point de vue politique, les budgets de cette entreprise dépendent pas mal du gouvernement qui aura donc systématiquement une influence sur notre milieu puisqu’il détermine les budgets alloués aux différentes commissions scolaires qui investiront, à leur tour, ou non dans la modernisation et dans de nouvelles technologies. En ce qui a trait à notre environnement technologique, la commission scolaire investit principalement dans de nouvelles techniques qui sont susceptibles d’accroître l’efficacité de notre travail de bureau et des moyens de communication. Du point de vue social, cette organisation applique un programme d’accès à l’égalité et invite les femmes, les membres des minorités visibles, minorités ethniques, les autochtones et les personnes handicapées à présenter leur candidature. Notre organisation est également encadrée par une série de politiques et de procédures reprenant certaines règles éthiques qui sont le reflet de valeurs et de croyances (La gestion dynamique, édition Gaëtan Morin).

La GRH au sein de mon organisation