Rousseau
1. [p.25-32] Distinction entre l’homme naturel et l’homme civil (à l’avantage de l’homme naturel).
2. [p.32-34] Définition de l’homme par rapport à l’animal (cette définition vise l’homme en général et non uniquement à l’état de nature).
La spécificité de l’homme repose dans sa liberté et sa perfectibilité.
3. [p.34] Le rôle des passions (pour l’homme naturel, ses désirs ne dépassent pas ses besoins physiques, ce qui ne le pousse pas outre mesure à se perfectionner et le maintien dans un état de bonheur paisible).
4. [p.34-42] Tous les perfectionnements de l’homme, comme le développement des langues, sont montrés contingents ou, du moins, dépendants de la vie en société.
5. [p.42-45] Dans l’état de nature, l’homme n’a pas besoin d’autres hommes, ce qui, dans l’indépendance des uns par rapport aux autres, est favorable à un état de paix général.
6. [p.45-47] La pitié envisagée comme sentiment naturel.
7. [p.47-50] L’homme naturel ne connait pas la violence des passions qu’engendrent les développements de la civilisation (exemple du désir sexuel).
8. [p.50] Résumé de tout l’argument de Rousseau (le paragraphe commençant par « concluons qu’errant »).
9. [p.50-53] Les inégalités physiques que l’on trouve entre les hommes dans l’état de nature sont sans conséquence et n’empêchent pas les hommes de prétendre tous jouir également de l’existence. Les inégalités majeures que l’on retrouve dans nos existences civilisées ne sont donc pas justifiées par la