Ensuite, cet extrait illustre bien la souffrance du narrateur, René. Effectivement, nous pouvons dénoter, à plusieurs reprises, sa tristesse face à l’adversité. Dans le passage suivant, la métaphore du cœur ressemblant à un instrument incomplet exprime que le narrateur croit que le cœur des humains est imparfait dans le sens où, si on prend en considération les années à travers lesquelles l’auteur a passées, on pourrait peut-être croire que les êtres humains manquent de sensibilité: «Notre cœur est un instrument incomplet, une lyre ou il manque des cordes et où nous sommes forcés de rendre les accents de la joie sur le ton consacré aux soupirs. » De plus, lorsque celui-ci ajoute que nous sommes forcés à rendre les accents de la joie sur le ton consacré aux soupirs, nous pouvons comprendre que même dans la joie, on dénote une certaine souffrance, puisqu’on l’exprime sous la forme de soupirs. D’autre part, la comparaison suivante illustre aussi le mal intérieur du narrateur : «Les sons que rendent les passions dans le vide d’un cœur solitaire ressemblent au murmure que les vents et les eaux font entendre dans le silence d’un désert; on en jouit, mais on ne peut les peindre. » Cet extrait laisse présager que le narrateur croit profondément que les passions ne sont en fait qu’une simple illusion, ce qui nous laisse croire à une souffrance intérieur. Effectivement, par sa comparaison du son du vent aux passions, il illustre que même si on peut sentir le vent, on ne peut pas le voir. Ainsi, il n’est qu’une sensation