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La notion a fait l'objet d'un débat chez les historiens en particulier dans le monde africain romanisé suite à la publication de l'ouvrage de Marcel Bénabou, La Résistance africaine à la romanisation. Les thèses de l'auteur ont été dès la publication de l'ouvrage remises en perspective pour suggérer une interprétation différente du processus de romanisation perçu non comme un ensemble de valeurs et de faits culturels imposés mais comme acceptés et intégrés volontairement par les populations de l’Empire romain ou de ses confins. Ainsi, pour Yvon Thébert la Grèce n’heEn Afrique du nord
La notion a fait l'objet d'un débat chez les historiens en particulier dans le monde africain romanisé suite à la publication de l'ouvrage de Marcel Bénabou, La Résistance africaine à la romanisation. Les thèses de l'auteur ont été dès la publication de l'ouvrage remises en perspective pour suggérer une interprétation différente du processus de romanisation perçu non comme un ensemble de valeurs et de faits culturels imposés mais comme acceptés et intégrés volontairement par les populations de l’Empire romain ou de ses confins. Ainsi, pour Yvon Thébert la Grèce n’hellénise pas, Rome ne romanise pas, car « l’évolution des cultures est avant tout un processus interne aux régions concernées »[1].llénise pas, Rome ne romanise pas, car « l’évolution des cultures est avant tout un processus interne aux régions concernées »[1].En Afrique du nord
La notion a fait l'objet d'un débat chez les historiens en particulier dans le monde africain romanisé suite à la publication de l'ouvrage de Marcel Bénabou, La Résistance africaine à la romanisation. Les thèses de l'auteur ont été dès la publication de l'ouvrage remises en perspective pour suggérer une interprétation différente du processus de romanisation perçu non comme un ensemble de valeurs et de faits culturels imposés mais comme acceptés et intégrés volontairement par les populations de l’Empire romain ou de ses confins.