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Portrait de Simus, un homme pessimiste, et plaintif.

C’est une nouvelle journée de travail pour Simus, tous ses valets, domestiques et cuisiniers sont déjà prêts. En effet, il est bientôt 9 heures. Ils attendent tous le réveil laborieux de leur maître.
Comme tous les jours, Simus va se réveiller une demi heure en retard, car selon lui, neuf heures c’est quand même trop tôt.
En descendant les escaliers, il va saluer ses domestiques en leur disant ce qui ne va pas chez eux, « mal réveillé », « mal rasé », « mal coiffé » son toujours ses premiers mots.
Une fois en bas dans sa salle a manger, il doit manger son petit déjeuné « trop fade », servi par un cuisinier « trop lent », et accompagné par sa femme à qui il fait l’inventaire de sa journée, toujours emplie de galères et choses détestables à faire.
Avant de sortir de chez lui, il rappel bien a tout le mondes les tâches qu’il doivent accomplir en son absence. Personnes ne lui souhaite bonne journée, ça porte malheur.
Simus est créancier, collecter le impôts c’est sa vocation de toujours, il veut pouvoir mépriser tous ceux qui ne peuvent pas payer leurs impôts, il veut les dénoncer et les poursuivre jusqu'à ce qu’ils les payent.
Il arrive à cette réunion « trop longue »qu’il a tous les matins avec ses collègues « incompétents » pour pouvoir planifier sa journée et les endroits où il doit se rendre. Ces endroits sont d’ailleurs souvent « trop loin ».
Durant sa journée, ce n’est jamais ce à quoi il s’attendait, pour la plus parts des familles qu’il visite pour en prendre l’argent, ils le lui donne souvent, donc il n’est pas content. Et dans les rares cas ou les pauvres gens n’ont guère de quoi payer, il n’est pas non plus content, ou c’est du moins ce qu’il fait paraître.
Après sa journée, il rentre chez lui fort blasé de cette journée.
Il ne félicite pas les domestiques car il n’ont pas fait leur travail, et critique sa femme car elle ne leur a pas rappelé leurs tâches.
À table, il raconte à