Phenomene de l'itinérance
Pour commencer, nous devrions rouvrir les institutions psychiatriques pour les itinérants qui souffrent de maladies mentales ou ayant des problèmes de toxicomanie. Cela permettra donc à une bonne proportion d’entre eux d’obtenir les soins nécessaires et de profiter d’une vie plus sécuritaire. Nous allons donc bien entendu devoir analyser chacun d’entre eux afin de définir s’ils sont qualifiés pour de tel soin.
Ensuite, une deuxième solution serait de permettre aux itinérants un accès plus simple à l’éducation. En effet, ceux ne souffrant pas de maladies mentales se sont retrouvés habituellement dans la rue pour des raisons économiques. Ainsi, si nous leur offrons la chance de s’instruire efficacement, cela leur offrira une chance de recommencer leur vie du bon pied.
Finalement, une dernière solution serait d’offrir des emplois simples pour les itinérants. En effet, cela leur permettrait de gagner un salaire minimum et d’ainsi d’avoir une qualité meilleure, sans risquer leur vie qui peut être gravement en danger, surtout l’hiver où la température peut devenir très froide.
Ces trois solutions permettrait inévitablement de régler la plus part des cas d’itinérance au Québec et d’ainsi d’augmenter les conditions de vie des sans-abri. Il s’agit donc de très bonnes solutions. Cependant, il est possible qu’il soit difficile de les appliquer. Par exemple, rouvrir les institutions psychiatrique et analyser chacun des itinérants demandera beaucoup d’argent de la part du gouvernement. De plus, il est possible que certains itinérants ne