pantagruel
Tout d’abord, il est très clair que dans le roman analysé, il est question d’accumulation de connaissances. D’une part, Gargantua, le père de Pantagruel, envoie une lettre à son fils afin de lui dire qu’il doit apprendre encore plus. Son père lui envoie donc une lettre afin de lui faire part de ses attentes :
J’entends et veux que tu apprennes les langues parfaitement : d’abord la grecque, comme le veut Quintilien. Puis la latine. Puis l’hébraïque pour l’écriture sainte, ainsi que la chaldaïque et l’arabe. Et que tu formes ton style, pour la grecque à l’imitation de Platon, et pour la latine, de Cicéron. Qu’il n’y ait d’histoire que tu n’aies présente à la mémoire, à quoi t’aidera la cosmographie. Les arts libéraux, géométrie, arithmétique, musique, je t’en ai
donné quelque goût quand tu étais encore petit, vers tes cinq six ans.1
On constate qu’il y a une énumération tout au long de cet extrait. Ce procédé utilisé par l’auteur fait comprendre aux lecteurs l’amplitude des connaissances que Gargantua impose à son fils. Ce procédé crée donc un effet de profusion. D’une autre part, Pantagruel lit une très grande quantité de livres afin de connaitre plus de choses. Ce géant ne se lasse pas de se remplir de connaissances. Avant de se lancer dans une nuit de sommeil, il lit une quantité assez étonnante de bouquins :
De l’autre côté