Nous sommes libres de gagner et nous sommes libre de perdre
Keith Fisher, l’avocat des 21 banques dans le film Cleveland contre Wall Street de J.S. Bron
Chaque jour, nous prenons de nombreuses décisions. Les unes sont faciles et d’autres un peu moins. Enfin, nos choix sont-ils uniquement guidés par nous-mêmes ou sont-ils guidés par notre société ? Cependant, les conséquences, elles, nous les subissons de toute façon. Quoi qu’il en soit, nous ne sommes pas libres de choisir. A cause de pressions sociales, morales ou financières, nous sommes forcés à certains choix et d’en accepter les conséquences. M. Fisher, avocat des 21 banques dans le film Cleveland contre Wall Street de J.S. Bron, pense au contraire que « Nous sommes libres de gagner et nous sommes libres de perdre. ». C’est-à-dire que nous, comme tout individu, sommes libres de faire les choix que nous voulons et d’en subir les conséquences, qu’elles soient positives ou négatives pour nous-mêmes. Par conséquent, nous seul sommes responsables des fruits de nos choix, donc nous devons les accepter. En revanche, faisons-nous réellement des choix nous-mêmes ou serions-nous manipulés par la société ? D’autre part, ne manquons-nous pas toujours d’objectivité lorsque nous devons faire des choix ? Et finalement, pouvons-nous vraiment blâmer quelqu’un d’avoir de l’influence sur nos choix ? Vous et moi, allons essayer de répondre à ces questions, de la manière la plus objective certes, mais en prenant compte d’un maximum d’éléments nécessaire à ces réponses.
Un individu de notre société est constamment influencé et ceci de tous les côtés. Commençons chez les personnes qui l’entourent, le ou la conjoint(e), la famille, les amis ou les collègues de travail ont une grande influence sur la liberté de choix d’une personne. Allons plus loin, les médias qu’il consulte, la musique qu’il écoute ou d’autres choses. En d’autres termes, cet individu est entouré de personnes ou choses qui l’influencent dans ses choix