Marie-Pière Daigle Levesque, groupe 0001 Dans la première partie du récit, Nicolas semble perturbé. En effet, des pensées reliées à la mort et la mutilation l’habitent, ce qui est irrégulié pour un si jeune garçon. On pourrait d’abord penser que de telles idées lui viennent des Histoires épouventables qu’il lit en sachant que ses parents lui diraient que ce n’est pas un livre pour enfant. Comme il le sait, ces histoires sont effrayantes et ne sont pas destinées aux enfants, le livre se trouvait dans la chambre de son père. Alors qu’il est temps de faire un voeu pour nouer son bracelet d’amité, Nicolas se rappelle une histoire dans laquelle des voeux exaucés …afficher plus de contenu…

Celui de la formulation de son souhait. La plupart des enfants auraient fait un souhait sans se préoccuper des conséquences possibles, mais Nicolas est affligé par l’idée qu’un évènement positif comme celui-là est forcément de mauvais augure, alors qu’il se rappelle dans sa tête le récit …afficher plus de contenu…

La métonymie « une horreur sans nom » démontre qu’il est encore une fois habité par des pensées qui ont comme thèmes communs la mort et la mutilation. En résumé, Nicolas est perturbé intérieurement dans la première partie de l’oeuvre, notamment par les histoire lectures interdites qu’il a faites et la légende de son père qui ont marqué son imaginaire.Dans la deuxième partie du roman d’Emmanuel Carrère, Nicolas semble prêt à vivre son passage à l’adolesce. Il est heureux du traitement qu’on lui offre après l’incident, c’est-à-dire sa fuite à l’extérieur, et il a confiance en ses capacités à faire face à une situation. Nicolas est sorti dehors en pleine nuit , et en toute